Doucement

Olympe était à l'ombre d'un grand chêne prés du lac. Elle avait ses ailes déployées sur le sol. Une bouteille d'alcool et des limges propres étaient posés devant elle. Elle défit le bandage qu'elle avait sur son aile gauche et regarda la plaie. Elle y inserra doucement son poignard pour l'ouvrir et la désinfecta avec l'alcool qu'elle avait volé à un alcolos qui dormais dans la rue. La plaie était infectée et elle appuya dessus pour en faire sortir l'immondice qu'il y avait à l'intérrieur . Aprés que tout le pue soit sortit, elle y versa une dose d'alcool dessus ce qui eut pour effet de lui arrachait une grimace de douleur. Elle passa un chiffon dessus et recommença. Elle saisit quelque linges et entreprit de bander son aile.

"Franchement il m'a bien amoché ce salop. Heureusement je l'ai tuer et réduit en charpie."

Elle rit franchement et se pencha sur son autre aile. Elle défit le bandage et vit que la plaie était pire que sur l'autre aile. Elle y inserra le poignard et la rouvrit. Elle en fit denouveau sortit le pue jaunâtre qui n'en finissait plus de sortir. Au bout d'un moment il n'y avait plus de pue puisque c'était du sant qui coulait. Elle désinfecta la plaie à l'aide de l'alcool. Elle hurla cette fois ci de douleur. Et une tache de sang apparu sur le bandage de son ventre. Elle banda son aile et s'alongea dans l'ombre du chêne.

Repus... Ténébris était parfaitement repus. Du sang coulait encore de sa bouche et ses yeux n'avaient pas encore perdu leur éclat de furie due au combat précédent. Il marchait, sans but, juste en savourant sa victoire récente ainsi que le sang de l'elfe qu'il venait de boire. Les elfes n'étaient pas faciles à éliminer, mais leur sang était décidément le plus goûteux et leur chair la plus tendre. L'assassin passa une langue sur ses lèvres pour que le doux goût du sang ne se tarisse pas immédiatement dans sa gorge. Il errait à l'orée de la forêt, qui donnait sur un lac scintillant sous le soleil de midi. Ténébris n'aimait pas tellement le soleil, cet astre brûlant qui asséchait sa gorge et brouillait sa vue de félin. Il préférait la nuit, l'ombre protectrice, la douceur de la lune, sa froideur lui rappelant la Mort. Il évitait donc de sortir du couvert des arbre, restant dans leur ombre bienveillante. Sa marche aurait put continuer ainsi si un obstacle ne s'était pas présenté à lui.
Il sentit la jeune femme avant de la voir. Son instinct de bête lui indiqua la présence d'une créature intelligente à quelques pas devant lui. Il grogna d'agacement, il pensait continuer son errance en paix, mais cette présence troublait sa paix.
Il dégaina une de ses dagues aussi silencieusement que si elle avait été en papier. Puis il avança, aussi discret qu'un félin, ce qu'il était un peu après tout. Il ne lui fallut pas longtemps pour atteindre sa cible. Caché derrière un arbre, il scruta la forêt devant lui. Une jeune femme était assise contre un chêne, et nettoyait qu'elle avait aux ailes... Aux ailes? Les yeux froids de Ténébris brillèrent. Cette femme n'appartenait à aucune race qu'il connaissait, et donc à aucune race dont il avait goûté la chair. Sa faim et sa soif de sang rejaillir en lui, réveillées par la vue du sang qui coulait des plaies de la proie nouvelle. Le hurlement de douleur que poussa la femme ne fit qu'accroitre sa soif, faisant ressortir ses instincts bestiaux. Ses yeux étaient maintenant emplis d'une lueur effrayante: la Mort, elle l'appelait...
Il vit ensuite la jeune femme s'allonger, et en profita pour s'avancer toujours aussi silencieusement. Lorsqu'il ne fut qu'à quelques mètres de sa proie, il l'observa: il pouvait aisément la tuer dans son sommeil, mais ce n'était pas ce qu'il voulait. Non, une chair tendre et nouvelle n'avait de goût qu'après un combat remporté. Il s'approcha donc de la jeune femme et s'assit en tailleur face à elle à quelques pas.
"La proie endormie, vie d'un sommeil sans songe
Froide de jour et de nuit, dans ses pensée sombres elle plonge
Pourtant son ombre rit, elle rit devant la mort qui déjà la ronge." murmura t-il de son habituel voix froide et psalmodiante, en attendant que sa proie remarque sa présence.

Olympe avait fermé ses yeux juste pour arrêté de ressentir la douleur qui était annésthésiée déjà par l'alcool. Elle les ouvrit justa assez pour voir la créature assise devant elle. Elle rétracta ses ailes . Elle déplaça doucement sa main sur sa faux qui était à côté d'elle. Elle ne pouvait se permettre de se battre a nouveau elle récracta ses jambes vers elle et se redressa. Elle regarda la créature et un sourire sadique naquis sur ses lèvres.

"Tu as fait de moi ta proie n'est ce pas ?"

Elle la regarda d'une manière tellement mysthérieuse que la créature ne pouvait savoir ce qu'elle pensait. En un saut elle se mit sur ses jambe. De toute sa hauteur et de tout sa grandeur, elle le regarda froidement. Elle qui n'était doué d'aucune pitié et d'aucune raison le ragarda. Elle était prête a le ou la torturé mentallement. Elle regarda le ciel peut être serait il à nouveau avec elle ce jour.

"Ta soif de sang et de chair nouvelle qui va à mon encontre ne te servira à rien. Je susi plus pourri que n'importe quel être en décomposition. Je suis le mal tout comme toi. Je suis la mort tout comme toi."

Elle regarda ses ailes . Elle pouvait volé mais mais cela serait douloureux. En un battement d'aile elle décola et alla se posé sur une branche au dessus de la créature.

"La mort est ma raison de vivre et la tienne cela se voit dans tes yeux. Je me nomme Sinistra Olympe et je ne serais pas ta proie. Et tu ne seras pas la mienne!"

Sa faux à la main et son poignard dans l'autre la rendait quelque part térrifiante. Elle savait qu'elle ne serait pas de taille vu ses blessure qui lui vaait était pratiquement mortelle.

"Tu veux goutté mon sang et ma chair n'est ec pas! Tes lèvres dégouline encore du sang de ta derniére proie. Il suffit de me le demandé mais j'ai un sale goût crois moi!"

Elle rit telle une psycopath et attendit la réponse de l'être qui était sous elle.

Ténébris ne fit pas un mouvement pour empêcher sa proie de monter sur l'arbre. S'il le voulait, il serait facile de l'y rejoindre pour la tuer. Il se contenta de la regarder de son habituel visage vide de toute expression et de ses yeux froids et morts comme un cimetière. Cette femme, elle savait qu'il l'avait désigné comme proie, elle l'avait sentie. Elle lui parlait, de sang, de chair. En connaissait elle le goût et la douceur comme lui? Il l'examina entièrement. Elle n'avait pas l'air d'une mangeuse de chair, mais cela faisait longtemps que Ténébris ne se fiait plus aux apparences. Il passa une langue sur ses crocs. Elle disait qu'elle ne serait pas sa proie, mais seul le chasseur décidait de sa proie. Et puis elle lui avait dit être la mort. La Mort? Ténébris se demanda si la jeune femme avait perdu l'esprit, chose quelque peu contradictoire vu que lui même était plongé continuellement dans une folie pure. La vraie Mort, il la connaissait, et elle l'attendait. Aucun être vivant et mortel ne pouvait prétendre l'égaler. Ténébris se savait son serviteur, et c'était peu être le cas de la jeune femme. Etait elle alors comme Axélian? Un messager de la Mort? Dans ce cas, Ténébris se devait en tant que serviteur de la Mort de tester la valeur de cette messagère. Car ne pouvait servir la Mort que celui qui le méritait.
"Une proie ne peut décider de l'être, seul le chasseur le décide. De même que tu ne peux être la Mort, car tu la sert."
Il plongea ses yeux vides dans ceux de la jeune femme. Puis il parut soudain pensif
"Je suis... le mal?... Qu'est ce que le mal? Est ce comme les émotions? Alors je ne peux être la mal, car des émotions je ne parvient pas à ressentir le sentiment."
Son timbre de voix était intéressé, désireux que l'on lui explique ce qu'il ne pouvait ressentir.
Il se releva alors, mais ne fit aucun geste pour attaquer. Il se contenta de continuer de fixer la jeune femme. Son regard s'attardait parfois sur son cou découvert. Et une lueur peu rassurante brillait dans ses iris. Pourtant son visage restait figé comme du marbre. Aucune émotion ne semblait le traverser.

Olympe regarda la créature qui était en desosus d'elle. Elle ne savait donc pas ce qu'était le mal. Portant si elle tuait alors elle était aussi le mal. Elle la regarda mais ne fit aucun geste. Elle l'écouta attentivement. Elle le regardait comme jamais elle n'avait regardait quelqu'un. Quelque part elle l'enviait. Il lui arrivé parfois de goutté au sang chaud de la victime de sa faux. Elle s'accroupit et la regarda avec un regard perçant. Elle pensait à uen allure hallucinante comme à chaque fois qu'elle rencontrait une nouvelle personne.

"Oh que oui je sert la mort et même que je me suis rapprochais d'elle il y a peine une semaine."

Oh que oui elle avait flirtée avec celle ci. Elle regarda son aile et sourit en voyant qu'il regardait son cou.

"Tu aimerais me goutté n'est ce pas ? Le mal ? Tu ne sais donc pas ce que c'est ? Non ce n'est pas un snetiment car je suis moi même incapable de ressentir certains sentiment. "

Cela était vrai elle était bien incapable de ressentir de l'amour ou de la compassion parcontre la pitié il lui était arrivé d'en faire preuve par exemple Axélian contre lequel elle devait se battre mais elle avait décidée de lui épargné un combat. Elle ne ressentait que de la colère et de la haine c'était bien égoïste de sa part mais s'était dans sa nature. Elle le regarda et reprit son explication.

"Le mal c'est une chose qu'on est ou qu'on est pas. Le fait de tuer, d'arracher des vies , de se délecté de leur souffrance fais de nous le mal incarné. Ceux qui sauve des vies , soigne , souffre quand ils voient quelqu'un se faire oté la vie eux son le bien. C'est une notion! Moi je suis le mal car je tue, je me délecte a chaque cris de souffrance de ma victime et parfois même j'en devient pire et je tue a nouveau pour entendre encore ces cris. Je ne suis que la servantes de la mort. Elle est toute puissante et je le sais parfaitement. De quelle race fais tu partie ? Moi je suis une ange déchue. J'ai tuer ma soeur !"

Un sourire éclaira son visage d'une onde de folie intense. Une psycopath restait une psycopath toute sa vie. Elle regarda la créature.

Ténébris continuait d'observer la jeune femme, mais au delà de la soif de sang, c'était une lueur d'intérêt plus intensif qui brillait dans ses pupilles. Elle l'intriguait. Il en était presque sûr maintenant, elle était aussi une messagère de la mort. Elle l'évoquait avec respect et sans crainte, elle parlait de sang, de tuerie, sans répulsion. Il ne connaissait pas encore sa force, mais si la dame blanche l'avait choisie elle aussi, ce n'était pas sans raison. Tout comme Axélian, tout comme lui, elle la servait et lui offrait des offrandes. Peut être ne devait t-il pas la tuer après tout? Mais sa soif animal était toujours présente en lui, et les battement du coeur de la jeune femme qu'il percevait éveillait sa faim à chaque instant. Son sang chaud bouillonnait dans ses veines, il le sentait. C'est pourquoi l'hésitation le tarauda encore. Devait il attaquer sa proie ou abandonner l'idée de se délecter de son sang?
Ses yeux vides croisèrent ceux de la jeune femme. Elle savait, elle connaissait ses intentions, mais ne semblait pas effrayé par de tels instincts et paraissait même s'en réjouir. Son explication du mot mal avait plongé Ténébris dans une deuxième réflexion intérieur. Il n'avait jamais pensé au bien et au mal, parce qu'il en avait pas besoin. Ce qu'il faisait était... mal? Honorer la Mort était mal? Après tout il s'en moquait un peu, le mal et le bien ne l'intéressait pas. Et cette jeune femme, elle aimait la Mort et le mal pour une autre raison que la sienne: elle aimait la souffrance des autres et y voyait la beauté. Ténébris lui trouvait la beauté dans la vie s'échappant lentement d'un corps pour rejoindre l'autre monde. La beauté d'un sang dégoulinant d'un plaie.

"Je suis... le mal?"

Il figea ses yeux sur sa proie, dont il n'était plus sûr qu'elle l'était. Il continua sur une voix qui semblait un peu perdue, comme si il ne comprenait pas toutes les paroles de la jeune femme:

"Une... race?..." Il se rappela les paroles d'Axélian, et des gardes.

"Je suis... un garou.. Oui, c'est ça je crois... Je suis un garou."

Il se demanda encore une fois pourquoi les gens autour de lui cherchait toujours à déterminer ce qu'il appelaient sa "race".

"Je suis Ténébris, l'assassin, le garou... Nommé "le fou" par ceux qui ne connaissent pas la beauté de la Mort. Messagère de la Mort, tu éprouves des sentiments, cela m'est inconnu... Peut être parce que c'est moi qu'elle attend. Elle me l'a dit, elle m'attend. Messagère, qu'attends tu de la vie?"

Messagère de la mort ! Elle arqua un sourcil . C'était bien la première fois qu'on la pelait comem ça mais cela ne la gèna point. Elle regarda le garou. C'était donc bien un garou, elle était fiére. Les sentiment ? Qu'attendait elle de la vie ? Trés bonne question. En un battement d'elle qui ne fit même pas aussillé les battement de son coeur qui restait calme quoique un peu exité par son euphorie intérieure. Elle déploya ses ailes et en un battement d'elle alla se posé deux métres plus loin. Puis elle s'avvança jusqu'à Ténèbris. Elle lui sourit. Elle voyait qu'elle le déstabilisé mais n'en fit rien.

"Je n'attend rien de la vie comme elle n'attend rien de moi. Parcontre j'attend mon salue avec autant de dignité que possible. La mort attend de moi un maximum d'offrandes que je lui fait dés qu'il m'est possible dans faire je lui en fais. Et toi qu'attend tu de la vie ? Pourquoi m'as tu appelé messagère de la mort."

Un légé cris attira son attention. Un homme riait aux éclats et une crise meurtriére la prie . Elle déploya ses ailes. Elle se dirigea a grand battement d'ailes de sa nouvelle proie. Elle se posa dans son dos et l'homme se retourna au moment où elle levait sa faux pour lui arrachais la vie. Il dégéna son épais et chargea elle s'envola d'uen battement d'aile et le combats commença. Elle monta haut dans le ciel déployant ainsi au maximum ses ailes puis une fois qu'elel eut assez prit de hauteur elle replia légèrement ses elle et piqua sur l'homme tel un focon plongeant sur la sourit. Elle filait a une vitesse folle et arrivé à hauteur elle asséna un coup de faux sur l'épaule de l'homme et qui tomba au sol sous la force de la frape. Elle se posa et l'homme se releva et elle engagea un combat mental . Elle saisit un souvenir de l'homme dans son enfance . L'homme voyait sa soeur se faire arraché le coeur par une épais. Il hurla et elle rit. Elle joua avec se souvrnir puis s'attaqua à un souvenir de combat où il arraché la vie à un enfant et kà des larmes se mirent à coulé sur ses joues. Elel riait aux éclats et en un coup de faux aprés s'être bien ammusé elle ota la vie de l'homme en le décapitant et une giclée de sang aspergea les allentours du corps. Sa soif de sang assouvie elle s'envola et alla se mettre sur ma branche au dessus de ténèbris. Elle lui sourit.

"Je ne m'excuse pas c'était plsu fort que moi. Au moins tu n'oras plus à te posé de question sur la véracité de mes propos. Il fallait que je tue ! Là tout dessuiste dans l'instant. "

Elle planta son regarda dans celui du garou.

Ténébris ne cessa de quitter la jeune femme des yeux lorsqu'elle tortura et tua l'homme puis revint sur sa branche. Son visage était toujours aussi dénué d'expression, et son regard toujours empli de la même lassitude morte. Maintenant il en était sûr, cette jeune femme ne tuait pas comme lui, et pour la même raison que lui. Elle tirait son plaisir de la souffrance de sa proie, lui c'était la Mort et le sang de l'être qui l'intéressait. La souffrance... Un état qui n'avait aucun intérêt pour lui, car il s'apparentait à des sentiments, et les sentiments, il ne pouvait en ressentir aucun. Mais une autre chose était sûre pour lui à présent: la jeune femme était bien une messagère de la dame blanche, tout comme lui. Il resta immobile un instant, puis il rangea sa dague et s'assit sur le sol d'herbes.

"Elle t'a choisi, et elle a bien fait. Tu es sa messagère, sa servante, tout comme moi, car elle t'as choisi. La Mort t'a choisi."

Son regard se perdit quelques instants dans le lointain. Mais il se refixa vite sur la jeune femme. Encore une fois on lui posait cette question étrange, qu'attendait il de la vie. Il passa une langue sur ses crocs et consentit à répondre:

"De la vie, je n'attend rien, car elle n'est pas intéressante. La Mort, elle m'attend, comme je l'attend. La Mort est bien plus intéressante. Lorsque la vie quitte lentement le corps d'une proie, et que la Mort la remplace, le vidant de ses sens."

A l'évocation de la beauté de la mort, il frissonna de plaisir. Une folie sans bornes brilla dans son regard, animant quelques instants les pupilles vides. Il s'aperçut soudain que le soleil était descendu dans le ciel et que sa lumière l'atteignait presque. Il se leva et alla s'assoir plus loin dans la forêt pour éviter les rayons lumineux qui le dérangeaient. Il ne cessait de fixer la jeune femme et sa soif toujours non-assouvie bouillonner dans son sang. Dans quelques heures, le soleil se serrait coucher, il faudrait alors qu'il parte en chasse.

Le visage de l'ange perdit tout expressions. Les lèvres entrouverte et le visage penché sur le côté elle l'observais mais son regard était interréssé. Elle déploya ses ailes se posa devant le garou. Sa faux était bien callée entre ses ailes dans son dos. Elle s'approcha du garou au maximum. Une folie dans ses yeux brillait. Elle posa sa main sur l'épaule du garou et le regarda droit dans les yeux . Elle resta comme ça pendant dix bonne minutes. Elle n'avait absolument pas peur. Elle l'avait écouté si attentivement que le garou l'interressais de plux en plus. Pourquoi était elle attiré par le yeux froid du garou? Elle ne savait pas pourquoi elle se recula brusquement et se retourna. Le soleil déscendait bien vite dans le ciel bientôt il toucherais l'horizon et il disparaitrais.Elle sentit se mains frémir par la température qui baissais. Elle le regarda.

"Suis je encore ta proie ?"

Elle le regarda son visage toujour aussi interréssé mais aucun sourire aucun geste ne la trahissais. Etait il possible qu'elle puisse survivre a un combat contre les instincts d'un garou. Elle s'était battue contre une dixaine de garde, un kieran, un démon et un hybride mais contre un garou dont les instinct était sanglants, elle n'en était pas sûre. Elle ferma les yeux et respira lentement. Puis elle ouvrit les yeux et regarda le garou. Une mélodie des ange entra dans sa tête et elle crispa son visage pour oublié.

* Je ne suis plus comme vous vous le savez , je suis morte a vos yeux et je ne compte pas réssusité pour vous !*

Pensa t elle. Elle se retourna et tourna ainsi le dos au garou.

"Si tu veux me parlé encore suis moi ! Tu n'est tenu à rien messager !"

Elle commença a déployais ses ailes et elle prit son envol . Elle rammais dans l'air a coup de grande coup d'ailes. Quand elle avait décolée une plume noir était tombé devant les pieds du garou. Elle se dirigeait vers l'autre côté de la forêt.

Ténébris regarda la jeune femme s'envoler. Il n'avait pas bougé un sourcil lorsqu'elle s'était approchée de lui, il ne savait plus exactement s'il devait se nourrir de sa chair. Son instinct bestial le poussait toujours à attaquer sa proie et à s'abreuver de son sang, mais sa conscience de serviteur de la Mort ne désirait plus tuer la jeune femme pour le moment. Il jeta un regard au ciel qui commençait à se teinter de rouge à l'approche du crépuscule. Il reporta ensuite son attention sur la jeune femme qui s'éloignait déjà à l'extrémité ouest de la forêt. Devait il la suivre? Quel intérêt aurait il à faire ça? Mais quelque chose qu'il ne comprenait toujours pas chez cette messagère de la Mort si différente de lui l'intriguait. Etait ce le fait qu'elle puisse ressentir des sentiments? Ou le plaisir qu'elle trouvait dans la souffrance d'autrui? Ou encore la folie qu'il percevait aussi dans ses yeux? Il ne savait pas, mais il lui restait quelque chose à découvrir chez cette jeune femme. Et il fallait qu'il le découvre rapidement car les mystères l'inquiétaient.
Il se décida donc et couru dans la forêt pour suivre la femme volante. En pleine course, il se métamorphosa. Son corps se couvrit d'une fourrure grise et tachetée. Son visage s'allongea et forma la tête d'un félin. Ses pattes s'arquèrent et sa colonne vertébrale s'allongea en une queue vive. Il tomba à quatre pattes et continua sa course, sa vitesse triplée. Lorsqu'il atteignit le niveau de la jeune femme qui volait toujours au dessus de sa tête, son apparence était celle d'un léopard gris perle, et ses yeux n'étaient plus noirs mais vert émeraude.

Elle regardait droit devant elle et au bout d'un certain moment elle sentit qu'on al suivait. Un sourire naquis sur ses lèvres et elle plongea vers le sol et elle frôla la fourure du félin et piqua à vitesse triplée vers le ciel. La lune montrait son nez et elle déploya ses zailes au maximum qu'elle pu. Elle plana ainsi pendant un bon moment pusi elelvira de cap et alla se posée dans uen clairière qui souvrait sous elle. Elle piqua vers le sol , ses ailes légérement pliées et arrivé au sol et se posa avec délicatesse et elle replia ses ailes parfaitement dans son dos et elle s'assit en plein milieux faux a terre et poignard dans sa main. Elle enleva ses mitaines et prit son poignard et commença à joué avec.
Elle entailla sa chair sur ses deux bras et lachâ le poignard. Un fine brume s'était levée et elle baissa le visage. Elle resta ainsi attendant.

"Je n'attend pas de toi que sois le même . Je n'attend pas de toi que tu me comprenne ! Mais seulement que tu m'aime. Je ne veux point ta place , mon sang se vide et je me reproche d'être né sous leur ailes. Pourquoi je redevient comme eux alors que je ne suis que le mal! Répond moi par pitié..."

Ses bras avaient arrêté de saigné et elle était toujour au sol. Elle ne bougeait pas , le regarda planté dans le vide.

Ténébris arriva dans la clairière alors que la jeune femme s'entaillait les bras. Il reprit sa forme humaine et la regarda, toujours impassible. Ses yeux vides l'observèrent pendant qu'elle parlait, sans qu'aucune émotion n'en ressorte. Puis son regard se posa sur le sang qui s'écoulait au sol. La lueur de folie s'anima plus que jamais dans ses pupilles noires. Le sang... Au dessus de sa tête, la lune, maitresse de la nuit illuminait déjà le ciel de sa blancheur. Le sang... Ses instinct bestiaux commencèrent à s'animer et à faire bouillir son fluide vital. Le sang... Ses yeux se dilatèrent au point qu'on ne vit quasiment plus les pupilles. Le sang...
Il s'approcha lentement de la jeune femme. Ses pas étaient silencieux bien qu'elle puisse repérer facilement sa présence. Il arriva à son niveau et la fixa encore, ses yeux empli de folie et d'une lueur peu rassurante. Puis il s'accroupit pour se retrouver à son niveau. Son regard froid se planta dans celui de la jeune femme. Il sorti une de ses dagues de sa ceinture et... s'ouvrit une plaie dans la main gauche. Du sang rouge sombre s'écoula de la blessure. Ténébris saisi alors le bras entaillé de la jeune femme et celle ci put sentir une violente sensation de brûlure. Peu à peu la blessure se referma. Lorsqu'elle ne fut plus qu'une légère marque blanchâtre, Ténébris lâcha le bras et se releva.
Pourquoi l'avait il soigné au lieu de la tuer? Il l'ignorait. Il se demandait toujours s'il ne devait pas lui trancher la gorge pour cesser de réfléchir, mais ne se décidait toujours pas à le faire. La soif de sang ne l'ayant toujours pas quitté, il tourna le dos à la jeune femme et observa le croissant de lune.
"Je dois me nourrir, je dois tuer et dévorer. La lune m'y invite. La Mort me l'ordonne. Je part en chasse car la nuit est la conseillère de la Mort."
Un grognement sourd monta de sa gorge, un son inhumains à la fois bestial et irréel. Il sorti sa deuxième dague de sa ceinture, et rejeta ses bras derrière son dos. D'un bond, il s'élança vers la forêt sombre et s'y enfonça. La bête cherchait une proie... La chasse était ouverte... Et la créature qu'était Ténébris courait à travers les bois en quête de sang sans se soucier de savoir si la jeune femme le suivait ou non.

Olympe ne comprit pas tout a fait ce qu'il lui fit. Il l'avait guérie. Pourquoi? Elle se leva et elle le regarda partir. Il l'avait soigné au lieu de lui ôté la vie. Porquoi? Tout à coup trop de quesyion se posérent dans sa tête. Elle regarda les traces qu'il avait laissé mais elle ne bougea pas. Elle resta bien à sa place là avec son sang a côté d'elle. Elle ne bougea plus . Elle sentait la pluie dpucement laissé sa trace sur la terre.

"Tu m'as soigné mais pourquoi ?"

Elle resta là en solitaire. Elle se leva et regarda la lune et une larmes coula le long de sa jour comme a chaque fois qu'elle se sentait bizzard.

La bête chassait... Elle avait soif... Et faim... La lune l'exhortait à se dépêcher. Son éclat d'argent se reflétait dans les yeux affamé de Ténébris, ou plutôt de la créature dont il avait l'apparence. Une bête semblable à un félin, mais à la silhouette vaguement humaine. Il courait sur deux pattes puissante mais s'aidait parfois de ses bras couverts de fourrure pour bondir en avant. Il se stoppa, huma l'air et reparti en suivant une direction bien précise. Il la sentait... La chair... Elle l'appelait...
Après plusieurs minutes de course, il ralentit enfin l'allure. Il bondit sur un rocher massif et regarda devant lui. La pierre dominait une autre clairière très semblable à celle qu'il venait de quitter. Là, au centre. Ils étaient là.
De la salive coula de la mâchoire de Ténébris. Il identifia rapidement ses proies: deux hommes et une femmes réuni autour d'un feu, des marchands à en juger par leurs charriots. Ténébris gronda doucement; la nourriture n'était pas savoureuse, mais la faim ne lui permettait pas de chercher un autre gibier. Il sauta de son rocher et contourna les proies à l'abri des arbres pour s'approcher le plus possible. Arrivé à proximité, il se mit à quatre pattes et se tendit comme un fauve à l'affut. Puis il détendit d'un coup ses muscles et bondit en avant. Il atterrit sur l'une des proie et lui brisa nette la nuque avec ses mâchoires. Les deux autres hurlèrent et se levèrent d'un bon prêts à prendre la fuite. L'un d'eux n'eut pas cette chance car Ténébris le frappa d'un coup de patte puissant qui lui arracha la mâchoire inférieure. Seule survivante, la femme s'enfuit en hurlant. Ténébris grogna et se lança à sa poursuite. En quelques foulés il la rattrapa et bondit sur son dos pour la plaquer au sol. La femme hurla et se débattit. Ténébris leva son bras et frappa avec force dans le dos de sa proie. Sa patte traversa le thorax et la femme et lui arracha le coeur. La proie cessa de bouger immédiatement. Le garou poussa un rugissement. Il leva ensuite l'e muscle sanglant qu'il tenait en main et le dévora en quelques bouchées. Dans les minutes qui suivirent, Ténébris se nourrit de la chair et du sang de ses proie. Lorsqu'il fut repus. Il revint sur ses pas.
Quand il revint dans la clairière, il fut étonné d'y retrouver la jeune femme qu'il y avait laissé. Il s'approcha d'elle en déchirant toujours un morceau de chair qu'il tenait à la main. Il s'arrêta à trois mètres d'elle et s'assit en tailleur. Il la regarda de son habituel regard froid et mort tout en continuant de dévorer son morceau de chair sanguinolent. Il ne dit rien, car il jugea que rien n'était à dire. Son regard observait toujours la jeune femme avec insistance, mais il ne se fixait plus sur son cou.

Olympe entendit le rugissement de joie et contentement de Ténèbris. Il avait donc trouvait ses proie et ses seulement en le voyant arrivé vers elle chaire en main et bouche pleine de sang qu'elle jugea bon de baissé le regard. Elle regarda la créature assise en indien non loin d'elle. La psychopathe sourit et déploya ses ailes pour les mettre devant elle. Elle regarda une de ses mains puis sourit et elle replaça ses ailes dans son dos puis s'approcha doucement du garou.

"A ce que je vois la chasse a été bonne !"

Elle sourit et planta son regarda ténébreux dans le regard insistant de Ténèbris. Elle s'assit fasse à lui et le regarda déchiqueté le lambeau de chaire qu'il avait. Elle fixa le lambeau un certain moment puis reporta son regard sur le garou. Pourquoi était-elle si attirée pas son regard dénué d'expression. La faim se fit entendre dans son estomac et elle se leva doucement.

"Il faut que je parte a mon tour en chasse de gibier !"

Elle reagrda le garou lentement essaya de percepté un expréssion mais rien . Il était vrai qu'elle tuait des cerfs , des biches pour ce nourrire . Elle était habitué a mangé de la viande animale crue . Au nombre de fois qu'elel l'avait fait . Elle le regarda et déploya ses ailes et elle le regarda un dernière fois puis elle s'envola et se dirigea vers la forêt . Elle virvolta à travers les hauts arbres et elle détecta sa proie. Une belle biche était nichée entre deux arbustes et elle mangé doucement l'herbe qu'il y avait au sol. Olympe se posa audessus de la biche et plongea dans sa direction et la tua d'un coup d epoignard dans le coeur. Elle lui ouvrit le corp et découpa des lambeaux de chaires qu'elle mangés au fur et a mesure. Quand elle fut rassasié de la chair de la biche il ne resté que les côtes et les vicéres ainsi que le tête et la paux et il restait aussi une partit le chair sur l'autre côté. Elle s'envola et alla dans la clairiére. Il lui restait du sang sur la bouche et elle se posa non loin de Téèbris. Elle marcha et s'assit. Ce soir elle dormirait là.

Ténébris regarda la jeune femme s'envoler en silence. Il continua de mâcher machinalement son morceau de chair pendant qu'elle chassait. Il continuait à se poser des questions sur cette femme. Des questions qui ne possédait pas de réponses pour le moment, et cela l'agaçait. Il n'aimait pas les mystères. Il avait toujours dirigé et compris sa vie et ce qui l'entourait. Il comprenait même la mort. Mais là, quelque chose lui échappait. Et pourquoi avait il donc soigné cette femme? N'aurait il pas dut la tuer plutôt?
Un grognement sourd monta de sa gorge. Les réponses lui échappaient, et il n'aimait vraiment pas ça.
Au bout d'un certain temps, la messagère revint. Il la regarda se poser et s'assoir par terre. Ses pupilles vides observèrent un instant les ailes de la jeune femme. Celle ci lui jeta un regard puis se mit en position pour dormir. Ténébris resta immobile, le regard fixe. Il n'avait pas besoin de sommeil, cela faisait longtemps qu'il n'en avait plus besoin. Il resta donc en tailleur à observer la messagère en jouant avec une de ses dagues. Il psalmodia d'une voix froide et chantante:

"Froide nuit conseillère, maîtresse des songe
Sommeil de la chair, ombre qui la lumière ronge
Répare donc la terre, et l'être qui dans ton coeur plonge."

Ténébris détacha enfin les yeux de la jeune femme qui plongeait dans le sommeil et observa le croissant de lune qui brillait de sa lumière argenté dans le ciel nocturne. La Mort le regardait elle en ce moment? Celle qui l'attendait veillait elle sur lui? Certainement. En cet instant ou il se posait tant de questions, il avait plus que jamais besoin de sentir sa présence.

Olympe dormait sur une oreille . Une ne sentit plsu el regarda de ténébris sur elle et elle ouvrit les deux yeux. Et voilà qu'elle n'avait plsu confiance. Elle se releva doucement. Et elle regarda ténébris qui était absorbé par la lune et elle se leva. 5 minutes pas plus lui suffisait et elle alla a côté de lui et elle pouvait entendre son souffle légèrement rauque.

"La mort n'est pas notre raison ce qu'on a dans nos coeur nosu pousse a tuer ! C'est pour cela que la mort ma receuilli sous son ailes fragile !"

Elle lui sourit.

[dsl pas beaucoup d'inspi !!]

Ténébris ne détacha pas tout de suite son regard de la lune. Il percevait la présence de la jeune femme et n'avait pas besoin de la regarder pour la localiser. Au bout d'un instant de contemplation de l'astre nocturne, il baissa enfin la tête et posa son regard sur la messagère qui s'était assise à cotés de lui. Le sourire qu'elle lui fit le plongea dans une nouvelle réflexion. Il s'était souvent demandé ce qui signifiait les sourires. Mais malgré ses recherches et méditations sur la question, il n'avait toujours pas trouvé de réponse. Son visage resta habituellement vide de toute expression et il dit:

"Ce que l'on a dans le coeur..."

Il semblait indécis, comme si la signification de ces paroles lui échappait. Il baissa les yeux sur le sol et sembla plus vide et froid que d'habitude. Il demanda avec un timbre de voix toujours neutre:

"Est ce étrange de ne pas ressentir? Est ce grave de ne pas éprouver de sentiments?"

Il continuait de jouer avec sa dague en la faisant tourner entre ses doigts d'un air pensif.

Olympe le regarda et sourit doucement . Elle parçait rtoujour dans l'âme des gens et elle le regarad comme si il ne connaissait rien de la vie.

"Non je pense que non et puis ne pas ressentir c'est un peu égal à ne pas se posée de question et donc de douté. Moi je sais ressentir mais j'essaye de ne pas le faire car sinon je suis capacble de laissé la vie alors que le hôte au gens. Puis éprouver des sentiments c'ets avoir un libre arbitre et ne pas l'avoir et comme êtres obligé de faire quelque chose et je pense que ne pas avoir de libre arbitres est trés génant..."

Elle se plongea dans ses pensée en attendant que le garou lui réponde.

Ténébris écouta la jeune femme, le regard impassible et le visage sans expression. Il ne comprenait pas entièrement ce qu'elle disait, mais apparemment elle prétendait que le fait qu'il n'éprouve pas les sentiments n'était pas à blâmer. Ténébris ne saisissait toujours pas ce qui l'intriguait chez elle. Etait ce le fait qu'elle soit une messagère? Ou qu'elle ne lui parle pas comme à une bête? Il n'en savait rien, mais les questions continuaient de le harceler, et il n'aimait pas ça. La bête grondait en lui, brûlant de se libérer pour cesser ce questionnement. Ténébris lâcha des yeux le regard de la messagère et le tourna à nouveau vers le ciel. Le croissant de lune brillait de sa lueur argenté. Une autre question lui venait à présent à l'esprit. La jeune femme avait parlé de... liberté? Encore une notion qu'il n'avait jamais examinée. Pourtant il savait, ou avait su, ce qu'elle signifiait. N'avait il pas été libre avant... avant... Des flashs l'assaillirent à nouveau: du sang.. beaucoup de sang.. de la tristesse, de la peur... et la douleur, la douleur dans son cou..
Ténébris grogna et plaqua une main sur son cou ou les marques de crocs c'était misent soudain à brûler. Un souvenir de son passé se refusait toujours à lui. Il était conscient d'avoir éprouver, d'avoir senti, d'avoir eut une vie différente autrefois, mais le souvenir ne lui revenait toujours pas. Peut être n'avait il pas envi de revenir.
Ténébris refixa son regard de fou sur la dénommé Olympe, qui lui faisait se poser autant de questions.
"Pourquoi?"
Il découvrit ses crocs.
"Pourquoi est ce que tant de questions me sont imposées? Pourquoi la peur ne se lit pas dans tes yeux? Pourquoi?"
Ténébris sembla plus fou et perdu que jamais.

L'ange se releva et s'étira doucement et elle marcha quelques instants. Pourquoi ? C'est là la même question qui se posait à elle car elle ne savait pas pourquoi elle était attiré vers lui. Peut être son ora de mort qui planait autour de lui. Elle retourna vers l'homme jaguar et se mit a genoux devant lui et elle le regarda droit dans les yeux.

"Je peux pas répondre a toute tes questions mais je m'y forcerais car tu es perdu . La peur ne se lit aps dans mes yeux car je ne suis pas une de tes victimes et que nous avons le point commun d'aimer tuer et que nous sommes tous les deux des messagers de la grande faucheuse. Tu te pose beaucoup de questions ! Cela est normal tu n'arrive pas à perçé mes pensées , mes gestes . Tu n'arrive pas a te décidé de mon sort . Tu ne est peut être plsu proche de moi que n'importe qui d'autre et là je parle de distance . Et comme tu es si proche de moi et tu n'ose pas me touché énormément de questions s'ouvrent a ton esprit !"

Elle devait être a une vingtaine de centimétres du garou et elle avait sucuré tout ce qu'elle avait dit. Elle resta penchée devant lui et le regardé droit dans les yeux , ses ailes légèrement déployé dans son dos. Elle lui offrit son plus beau sourire et se recula et se releva. Elle resserra les sangles de sa veste ainsi que tous les sanglons de son corset. Elle détacha ses cheveux qui tombérent dans son dos et devant ses yeux. Elle le regarda.

"Ai je répondu a toute tes questions? Et si tu as des questions plus personelles n'hésite pas!"

Elle alla s'asseoir contre un arbre non loin de là et elle se lova dans la chaleur des plumes de ses ailes repliées devant elle. Elle ne dormait pas mais elle le regardait de loin.

Ténébris resta immobile. Les paroles de la jeune femme tournait dans son esprit enserré de folie. Loin de répondre à ses questions, les paroles de la jeune créature ailée le tourmentait de davantage de questions encore. Tout cela se mélangeait dans son esprit, et faisait s'agiter l'ombre de sa folie. Mais le garou ne savait rien de tout cela, se concentrant sur les questions auxquels il désirait à présent à tout prix des réponses. Il savait que ces questions lui étaient imposées par la présence de la jeune femme, mais il ne parvenait pas encore à se résoudre à lui prendre la vie. Quelque chose l'en empêchait, il avait encore des choses à apprendre sur cette Olympe.

*Mort, est ce toi qui m'envoies cette épreuve? Cette messagère compte elle à tes yeux?*

Il fixa la jeune femme lové sur elle même et entourée de ses ailes. Un grand mystère planait sur elle, et Ténébris voulait le résoudre. Au delà de sa répulsion à la tuer, il sentait que les paroles de la jeune femme ne lui paraissaient pas sans sens, et que certaines de ses réactions ressemblaient aux siennes. Et si? Après tout pourquoi pas? Ce n'était pas la première fois qu'il le ferait, Axélian en avait déjà fait l'objet.
Ténébris se leva et observa la jeune créature ailée. Le regard toujours aussi mort, il s'approcha d'elle et s'accroupit devant elle. Elle ne dormait pas comme il l'avait senti et le regardait. Le garou sorti une de ses dagues et s'entailla la main une nouvelle fois. Du sang rouge sombre recommença à en couler. Ténébris attendit que le sang coule sur ses doigts, puis il approcha la main du visage de la jeune femme et traça sur son front un étrange symbole ressemblant à un cercle traversé de pics. La jeune créature n'eut pas le moindre mouvement de recule. Ténébris retira sa main et se releva en la fixant toujours de son regard vide et froid comme un tunnel.

"Puisque tu n'es pas ma proie, tu seras ma compagne. Ce symbole, est la marque que je place sur le front de ceux que je respecte. Accepte ce gage ou refuse le soeur messagère. Mais quelle que soit ta décision, je te considérerait à présent comme mon égale."

Le garou se détourna et reprit sa place à plusieurs mètres de la jeune femme. Assis en tailleur, il rangea sa dague et se perdit dans la contemplation de la noirceur du ciel. La nuit était déjà avancée. Bientôt, bientôt il devrait partir mais pour le moment il méditait encore sur les questions qui lui étaient si ardemment posées.

Olympe se laissa faire mais un petit sourire avec naquis sur ses lèvres. Elle se leva et déploya ses ailes. Elle le regarda mais tout à coup son attention fut attiré par un légé bruit de pas dérriére elle. Elle entendit un petit voix et elle avança le dos tourné à celui qui était non loin d'elle. Elle écouta et dégèna sa faux . Elle reculé jusqu'à ce qu'elle soit tout prés de ténèbris et là... Un groupe d'Akarax apparue armés jusqu'au dent. Olympe baissa un peu sa garde et se mit a rire comme une psycopathe. Un akarax sortit du lot et s'approcha d'olympe et son compagnon.

"Je ne veux que l'on se batte , je vous connais mademoiselle . Vous êtes le démon qui a fait tant de mort dans notre clan..."

Olympe le coupa violement.

"Vous n'êtes que des insectes insignifiants que j'ai dû irradiqué et je me ferais un plaisir d'en irradiqué de nouveau."

"Madame je vous en supplie !"

Joignant la parole au geste , l'akarax de mit a genoux et posa ses armes.

"J'implore votre clémence . Voyez ce que vosu avez fait de nous. Nous ne sommes qu'une dizaine..."

"Une dixaine de trop à mon goût !"

"Par pitié..."

"Cessez de me suplié j'ai choisi ce que je vais faire de vous. Je vous ai jugez dés la première fois à la mort. Ma maitresse si haut plaçée me demande de vous ôté la vie!"

Olympe joignit le geste à la parole et fondit telle un furie sur les Akarax. Elle en tua deux en leur tranchant la têtre et elle en tua deux autres avec deux battement d'ailes puissant . Elle s'arrêta quelques secondes et tous détalèrent comme les lièvres. Elle regarda son compagnon et elle sourit. Elle s'assit a genoux devant lui et le regarda.

"J'accepte !"

Elle le regarda et resta comme ça.

Le garou regarda la jeune femme massacrer les nouveaux arrivant sans esquisser le moindre geste. En revanche, son regard brilla d'une étrange lueur à la vue du sang qui jailli sous ses yeux. Il attendit patiemment que sa compagne extermine ses proie et fasse détaler les autres.

*Mort, je comprend ton choix à présent, cette messagère est ta digne servante.*

La jeune créature ailée se retourna et lui dit en souriant "J'accepte". Ténébris ferma les yeux et laissa retomber la tête sur sa poitrine. Son attitude donnait l'impression qu'il dormait, mais son expression concentré démontrait le contraire: il réfléchissait. Il releva la tête et son regard froid croisa celui de la messagère. Au delà du vide immense de ses pupilles, la lueur inquiétante était revenue. Le garou découvrit ses crocs et fit une étrange grimace crispé. On aurait put croire qu'il faisait une mimique de douleur, mais il recommença en se crispant davantage: il tentait de sourire à son tour. Devant son échec, il renonça. Le regard toujours fixé sur celui de la jeune femme, il annonça de son habituel voix trainante et froide comme de la glace:

"Soeur messagère, compagne combattante, tu est digne de la servir. Elle t'a choisi, et son choix a été le bon."

Il croisa les bras et baissa légèrement la tête sans cesser de fixer la jeune créature dans les yeux. Après avoir passé une nouvelle fois sa langue sur ses crocs, il continua:

"C'est ici que nos chemins vont devoir se séparer, digne égale. Laisser des proies en vie n'est pas de mes coutumes, et pas plus d'une vie ne sera sauvegardée cette nuit. Un jour, nous nous reverrons, car tout ses messagers doivent se rencontrer à nouveau. En attendant cet instant, que la Mort veille sur ton destin, et qu'elle guide ton arme pour que l'hésitation ne soit pas de mise."

D'un doigt, il effleura la marque sanglante qui brillait sur le front de la jeune femme. Il dépassa ensuite la messagère et son regard observa l'endroit par lequel les fuyards étaient partis. Il libéra ses dagues et se mit à courir. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour disparaitre dans l'ombre des arbres. La lueur qui s'animait dans ses yeux devint plus intense: le garou s'était remit en chasse, pour tuer cette fois, pour faire hommage à la dame blanche. Les proies couraient toujours à travers la forêt, et un frisson glacé de désespoir les secouait soudain, car inconsciemment il sentait la bête se rapprocher, annonciatrice de leur fin...

[Gente dame c'est à toi de choisir si le sujet doit être clôt ici ^^]

Olympe acquiesça et lui sourit . Elle le regarda néanmoin partir en courant et à son tour s'envola pour d'autre endroit.

{Cher monsieur je décide que le sujet et bel et bien clos ^^}