Un labyrinthe sous les décombres

Au sortir de la forêt, Olympe et Zéro marquèrent une pause au beau milieu d'une arène de l'époque ancienne. Un dédale de pierres de toutes tailles et de toutes formes décrivaient un ovale autour d'un terrain plat qui avait subit les ravages du temps. L'espace était gigantesque, il s'étendait sur plusieurs centaines de mètres et les ruines laissaient à penser qu'un édifice haut de plusieurs dizaines de mètres se dressait tout autour. Les deux compagnons s'assirent sur un colonne de marbre délabrée et contemplèrent le paysage. Zéro de part son érudition reconnu le type d'architecture et pu dater ainsi qu'identifier l'ancien monument. Tout en regardant les décombrent il commença à narrer à l'attention d'Olympe.

-Il y a bien des années, ce lieu était une arène autant que vous puissiez en douter. De grands tournois de combats sanglant se déroulaient céan.

Il repensa au combat qu'il avait disputé avec Ketsueki. Puis sa main étreignit la Dague des Limbes qui lui saillait le côté. Un petit pic de vengeance lui parcourrut le corps. Il se calma et repris.

-Les adversaires que l'on rencontraient le plus fréquement étaient de toutes les races. Cependant, trois races prédominaient : Les Relac, les Cercans et les humains du fait de leurs compétences au combat et en arme. Tous trois s'affrontaient à mort pour le plus grand plaisir des spectateurs. Seul le roi avait le droit de vie ou de mort sur les combattants. Plus le sang était déversé, plus la satisfaction joignait la foule. Ces combats étaitent un moyen de divertissement et étaient très populaires à l'époque. Les combattants nommés: Les Gladiateurs devaient passer des présélections de niveau très élevés pour avoir la chance de combattre et même mourir au combat.
Parfois les combats étaient truqués, des paris s'effectuaient sur les gladiateurs et quand un favori gagnait trop souvent , il était fréquent qu'il soit empoisonné par ceux qui pariaient sur sont adversaire dans le but d'empocher un gros butin.

Le démon regardait l'arène et imaginait les gladiateurs s'affronter au milieu des décombres. Il restait admiratif et respectait les valeurs de cette discipline. Bien que les combats soient mortels, les adversaires suivaient tous les codes de l'honneur et tous étaient fair-play. Il sentait le sang incrusté dans le sol qu'il n'avait pas quitté des années durant; et malgré que l'on ne pu deviner qui y en avait à cause de la couleur blanc cassé de la terre, le démon savait qu'il ne fallait pas s'y fier. Lors de son combat contre Ketsueki, celle-ci en avait soulever une quantité inimaginable. Zéro, grâce à sa qualité d'être des Ombres perçevait quelques âmes qui hantait les débris, tel des gardiens d'un lieux sacré ils vagabondaient l'oeil méfiant.
Perdu dans ses pensées, le démon ne voyait pas qu'une âme planquée entre deux pierres carrées qui auraient dues êtres des sièges de fortune lui faisait des signes.

-Petit déjà, je jouait avec les enfants de la maison d'en face aux gladiateurs...

Il resta cinq secondes pensif.

-J'ai toujours apprécié la mécanique des combats, ce qui pousse les hommes à se sentir HOMME en combattant à mort. Non pas pour des motifs morbides ou cupides, mais pour des valeurs à défendre. Des valeurs nobles et respectables.

Il ne s'était pas rendu compte qu'il avait parlé tout seul depuis le début. Se sentant géné il tenta.

-Vous savez, Olympe. Ces arènes étaient en avance sur leurs temps, elles étaient confectionnées de telle manière que les spectateurs pouvaient s'enfuir en cas d'incendie sans risquer de se faire piétiner par des plus rapides. Ces monuments étaient tellements vastes qu'ils regorgeaient de pièces, salles, cages et autres merveilles de la constructin ageancées de manière divine. Et je ne doute pas que des sous-sols soient encore intacts.

De son vivant, Zéro était fasciné par la technique poussée à son excellence.

-Souhaiterez vous que nous visitions ces ruines ?

Le chevalier afficha un grand sourrire de sous son chapeau qui masquait ses yeux de démon et tendit une main gantée d'un gant de cuir gris clair à son amie.

Olympe avait suivie son ami et vit les ruines s'étendre devant elle , tel un géant éfondré aprés une batailles sanglante et elle sentit la présence d'être invisible et elle sourit. Zéro la fascinait plus que tout pourtant il n'avait absolument rien de fascinant mais elle était toujour à son écoute telle une éléve écoutant son professeur. Elle marchait doucement surement la fatigue accumulé tout le long des semaines passées. Elle regarda zéro et elle plongea son esprit dans un réfléction recherchée. Depuis qu'elle l'avait rencontrer beaucoup de chose s'était passé et de grand changement dans sa manière d'être s'était fait. Mais au fond elle , elle restait cette âme en peine qui voulais s'évadé d'un monde qu'elle haïssait tellement il avait été cruel avec elle. Elle s'assit par la suite a proximité de zéro sur une longue colone de type greco romain taillé dans le marbre blanc et elle eut alors une vision de la splendeur de l'édifice quand il était encore debout. Elle se tenait là assise à côté a plsu de 50 centimétres d'un homme qu'elle n'avait pas réussi à cerné. D'un côté elle le trouvait gentil et résonable et elle avait confiance en lui et d'un autre côté elle avait epur de lui, du mal qui le hantait et par conséquent elle avait pris la déscision de se mefier de lui alors qu'elle aurait pu lui confié sa vie. Elle regarda les décombre et son coeur ne pouvait battre correctement quand elle pensais à ce qui se passé dans de tel endroit. Elle écouta doucement zéro qui lui parlé. Elle était subjugué par son intelligence. Comment savait il tout cela ? Elle n'en avait aucune idée. Elle l'écouta dans les moindres détails qu'il narrait mais elle gardait son visage tourné vers les ruines et non vers lui. Elle avait ses longs cheveux noirs lâchés en cascade dans son dos. Son éternelles veste noir caché un tatouage qui lui couvait tout un bras, une homoplate et toute la clavicule gauche. On en voyait un légé bout sur la clavicule car elle avait laissée sa veste ouverte. On pouvait voir un dessin représentant à la perfection du metal, des câbles et de la verdure. On aurait dit que sa clavicule était une clavicule d'un robot couvert par la nature. Quand zéro parla de son enfance , elle tourna la tête vers lui mais baissa le regarda sur sa main qui était toujour sur sa dague. Elle eut tout à coup un coup de peur aigue mais se calma doucement. Elle tourna denouveau son visage sur les ruines de cettes arène et resta comme ça l'air pensif. Elle n'écoutait pratiquement plus mais lorsque L'homme au chapeau lui parla directement elle sortit de ses rêveries. Elle le regarda mais ne répondit pas. Elle se contenta se saisir avec uen douceur icomparable la main gantée de zéro. Elle se leva doucement et resta comme ça. Elle était si bizzare parfois, si distante du monde, si ailleur, si renfermée sur elle même, si pensive qu'on avait toujour du mal a se demandé ce qu'elle pensé des gens. Dire que zéro avait été le seul à avoir eu un contacte quelconque avec sa peau ! Personne n'avait eu seulement le droit de la touchait même ses parents ne l'avait variemnt touché. Toujour une serviette ou un gant peut être avaient ils eut peur qu'elle les brûle. Elle regarad Zéro et elle lui fit un beau sourire ce qui devenait de plsu en plsu rare.
"Alons y !"
Elle avait parlé d'une toute petit voix légérement eraillée de par son long sielnce. Elle attendit la réaction de zéro.

Zéro lui saisit la main, il se rendit aussitôt compte que cela faisait plus de dix ans qu'une femme ne lui avait pas prêté autant d'égards. Il aida Olympe à se relever et par courtoisie, retira sa main après qu'elle soit debout. Les deux marchèrent parmis les décombres, le chevalier se plaisait à expliquer les pourquois des comments des ruines, même si il ne douta pas que le plaisir soit partagé à la même intensité. Il éprouvait un grand émerveillement à démontrer l'exsistance de chaque pierre avec précision.
Au cour de la balade guidée, les amis gravirent un immense tas de gravats. Les deux se turent un instant pour profiter de la vue qui se perdait à l'horizon. L'arène était située à l'entrée de la plaine et à la sortie de la forêt. L'on distinguait au loin les pics montagneux de la chaîne de Tear of Blood. Ces montagnes parraissaient aussi impressionantes qui fut l'arène sur laquelle ils foulaient les dédales. Tout en regardant le paysage d'un air pensif, le chevalier continua la visite.

-Céan était construite les vestiaires des Gladiateurs. L'atmosphère y était malpropre et jouxtait les fosses au lions et aux toraux. Il arrivait parfois que l'on fasse combattre des hommes contre des animaux. Hélas c'était bien souvent contre leur gré ou à la suite d'une faute grave de la part d'un combattant. En gage de punition, ils se devaient de remporter le duel pour avoir gain de cause ainsi que la vie sauve.

Le démon revivait les moments de combats intenses ou la sueur et la peur se mêlait à l'envie de victoire et à l'odeur du sang. Soudain, un idée lui vint.

-Olympe, accpeteriez-vous un défi, à la manière de ses valeureux combattants ?

L'ange aquiesca.

-Très bien.

Emporté par sa fougue, le démon se lanca dans une incantation qu'il aurait juré de rater en temps normal. Il écarta les bras en croix et se mit à parler à une vitesse divine, un balbutiage incompréhensible pour Olympe s'échappait de la bouche du chevalier. Il referma ses bras brusquement au même instant où il stoppa son incantation. Puis, il releva la tête afin d'accueillir son protéger.
Au milieu de l'arène le sol se mit soudain à se bosseler, un monticule de terre de la taille d'une grosse marmitte se mit à enfler avant de révéler un disque de bronze. Le disque s'éleva et s'extripa peu à peu du sol laissant deviner un bouclier tenu par un bras, à qui succéda un buste, une tête casquée ainsi que le reste du crops. Au bout de quelques secondes, un être des ombres se tenait devant eux.

-Je te présente Gargaliad.

Annonca fièrement Zéro, sans douter que la puissance de l'invocation fut trop importante pour lui et qu'elle risquait à tout moment de lui désobéîr, voire pire, se retourner contre lui et même attaquer l'ange de la mort.
Gargaliad était un démon débordant de muscles et était de deux têtes plus grand qu'un humain ordinaire. Il avait sur le bras gauche une bouclier rond qui lui couvrait tout le flanc, ce dernier était frappé d'Harmoirie inconnue de Tear of Blood, le démon appartenaint à une faction de Limbes. Il avait un casque de métal noir entièrement recouvert de particules oxydées, se qui donnait un aspect plus effrayant à l'invocation. Seulement percé de deux trous, deux yeux rouges ordinaires des démons luisait dans l'obscurité de la ferraille. A la manière d'une crête de coq, le combattant avait des pics d'acier sur le haut du haume. Son torse nu et recouvert de cicatrices était barré de lannières de cuir jointent par des boucles d'acier. Il n'était revêtut que d'une culotte en cottes de mailles et portait des sandales de cuir. De son bras droit pendait un glaive démesurément grand, qui aurait pu assomer un boeuf d'un seul coup de plat de lame.
Gargaliad ne bougeait pas et attendait les instructions de son maître.

-Olympe, si vous voulez bien, il sera votre adversaire. Les règles sont simples. C'est un combat à mort où tous les coups sont permis hormis l'usage de pouvoirs magiques. Gargaliad est très fort alors ne vous ménagez pas.

Il regarda Olympe qui s'interraissait à l'invocation.

-Si vous êtes en difficulté, signalez le moi, je le révoquerais.

Gargaliad n'avait pas bougé depuis sa venue, il n'avait rien dit non plus, il attendit seulement les ordres du maître. Après un signe de tête approbateur de la part de l'ange qui s'était déshabillée pour être à l'aise en tenue de combat, le chevalier hurla à l'attention des deux combattants.

-Combattez !

Au signal, la masse de muscles se rua vers l'ange qui paraissait fragile, tout en brandissant son glaive qui créait une immense zone d'ombre autour d'Olympe.

Olympe eut un mouvement de recul quand elle vit le masse de muscle qui faisait au mont 3 tête de plus qu'elle . Elle regarda zéro et acquiesça à tout ce qu'il lui demanda . Elle regarda l'homme des ombres et une lueur de peur naquis dans les yeux de l'ange. Elle se recula et elle ôta avec douceur sa grande veste noire laissant ainsi aparaitre ses formes de femme dans un magnifique cosage brodé mais qui était en même temps en cuir noir et recouvert de sangle diverse. On pouvait voir aussi la vbeauté de son tatouages sur le bras gauche. Elle attrapa sa faux dans son dos et s'avança avec lenteur du gladiateur. Elle regarda zéro et reporta son attention sur le gladiateur. Elle était si silencieuse que ça en devenait effrayant. Elle attacha avec grâce ses longs cheveux et elle se mit en garde. Elle avait les genoux qui flachés mais elle allait vaincre cette bête de combat.
* Je suis morte d'entré!*
Elle baissa les yeux le temps que zéro donne ses dernières instruction et quand il dit de combattre , elle releva le visage et plus aucune peur n'apparaissait sur son visage. Elle esquiva d'une maniére assez splendide le premier coup de gladiateur . Elle s'était envolé en un clin d'oeil et avait réaterie juste dérrière lui. L'homme au glaive se retourna et lui mit un coup de point dans la cage torasique ce qui eut pour conséquence de la faire volée sur 10 métres et elle attérit dans un hurlement de douleur dans un amas de pierres. Elle s'éffondra au sol et resta à quatre pattes parterre, les bras tramblant et les yeux fermés de douleur. Elle saignait légérement du dos et elle se releva . Ses yeux étaient allumés de deux flammes de rage. Elle se dressa telle un cobra qui s'apprêté à attaqué. Elle se mit a courir faux et poignard en avant et elle sauta sur le gladiateur et elle le transperça à un allure inimaginable. Elle ne suportait aps perdre. Elle se remit à l'ataque mais il la contra grâce a son glève. Elle eut envie de lui jetais un peu de magie à la tête mais elle se souvint de la régle de zéro mais ce moment d'inatention ,le gladiateur en profita et d'un coup du plat de son glaive , il l'envoya contre uen colone qui était encore debout et elle au choc , elle perdit connaissance. Elle ne se réveilla pas. Le gladiateur se jeta sur elle pour l'achevée.
"Zéro ...."
Elle avait hurlé mais dessuite aprés elle était retombé dans son someil.

Après quelques échanges de coups, Olympe fut propulsée contre une colonne qui vola en éclats sous le choc. Quand les débris retombèrent, le chevalier vit le coprs inerte de son amie et par de là, la masse qui continuait sa charge meurtrière. Le démon porta sa voix et hurla.

-Gargaliad arrête !

Le ton apparement trop convivial de son maître ne parvint même pas à faire tourner le casque de pics de l'invocation. C'est alors qu'un sentiment d'inquiétude traversa Zéro à la manière d'un éclair.

*-Et si j'avais...*

Ses pensées terminèrent pour lui son murmurre. Il s'était trop empréssé et avait appelé une créature dont il ne pris pas le soin de se demander si il allait pouvoir la maîtriser par la suite.

*NON !*

Pensa-t-il. Il voyait son serviteur hors de contrôle se ruer vers Olympe inconsciente, les bras tendus au-dessus de la tête, le glaive en main. La peur l'envahit, immédiatement suivie par la colère puis la vengeace. Tout bouillonnait en lui aussi vite qu'allait se produire un désastre.

*BAT TOI !*

A ces mots le corps du démon disparut du tas de gravas.

La poussière se faisait peu à peu balayer par le vent au-dessus d'Olympe. Elle était en songe, n'avait plus à se soucier du dangers qui la pourchassait. Et pourtant des pas lourds approchaient de son corps, ces pas appartenaient à un colosse armé. Ces yeux flamboyaient de furie derrière deux meurtrières qui lui permettaient de voir. Par ces même orifices fuyait une vapeur de souffre, l'haleine du démon témoin de son appartenance au monde d'en dessous. En ces instants, tout était ralentit, le pas, les mouvements. En position de faiblesse, la future victime pouvait à loisir adimrer les moindres détails de sa fin. Les gouttes de sueur sur les muscles rutilants du geurrier, chaque reflet du soleil qui brillait sur chacun des anneaux de métal de la culotte en côte de maille de l'invocation. L'épée surdimensionnée qui ne laisserait bientôt qu'une informe masse de chair sanguignolante et baignant dans une boue poisseuse. Cette arme n'avait pas étée aiguisée depuis longtemps, comme si son possesseur n'avait même pas besoin qu'elle le soit pour tuer. L'énorme lame amorçait sa descente à présent, lourde et puissante, de lourd dégâts allaient être à essuyer.

Un choc de métal retentit jusqu'à trois lieue, le son avait pénétré la forêt que le deux amis avaient quittée plus tôt. L'invocation ne compris pas dessuite pourquoi son mouvement avait été arrêté promptement. Quand il pencha la tête, il vit un corps vêtu d'un manteau long et d'un grand chapeau de cuir blanc. Du chapeau pendaient des cheveux gris cendre tel un rideau. L'impromptu tenait en ses mains une lame aux étranges reflets pourpres. Celle-ci qui paraissait ridiculement petite face à l'énormitée du glaive de titant, elle entravait cependant le chemin vers la mort de l'ange noir.
La tête du chevalier se dressa, une bourrasque de vent emporta le chapeau et jetta tous les cheveux du chevalier en arrière découvrant une regard semblable à l'invocation.

-RENTRE CHEZ TOI !

Lacha Hantise entre ses dents. La masse de muscles ne cilla pas et garda sa postion, obligeant le démon à rester en position de parade. Un instant passa, quand un rire caverneux provenant du casque se mit à retentir. Hantise relâcha une seconde son attention pour comprendre la raison de cet amusement, se fut une seconde de trop, un disque orange le balaya telle une vulgaire poussière sur un sol qui doit rester propre. Le chevalier passsa au travers de nombreux décombres, générant une trainée de poussière sur son passage sur plusieurs dizaine de mètres. Zéro n'avait apparament pas plaisanté quand il disait qu'il était très fort. Un peu sonné, Hantise se redressa sur ses coudes, sa vue était encore trouble quand il reconnu l'invocation dans les airs à son aplomb. Gargaliad tenait de ses deux mains l'énorme glaive et était bien déterminé à faire un gigantesque cratère à l'endroit où se trouvait Hantise. Réunissant ses forces, Hantise n'eut que le temps de rouler sur lui même. Le glaive passa à vingt centimètres de lui. Au contact du sol, l'épée du titan provoca une telle onde de choc que le démon fut une fois de plus éjecté, cette fois sur deux mètres seulement.

-Vilain toutou qui ne veux pas obéïr à son maître !

Cracha Hantise essoufflé avant de relancer.

-Il va recevoir une grosse correction !

La Dague au poing, Hantise se rua sur son invocation, cette dernière l'imita faisant trainer son arme sur le sol qui laissait une rayure sur son passage. A bonne distance, Hantise sauta pour poignarder le visage de Gargliad. L'invocation fut plus rapide que sa masse de muscles ne laissait croire, d'un rapide coup de plat de lame, le démon fut chasser comme l'on souffle une fleur de pissenli en l'air. Cette fois-ci, Hantise se receptionna comme il faut. Il s'arrêta et les deux combatants se fixèrent.

-Je ne pensais pas l'utiliser contre toi, mais quand il faut, il faut !

Le démon brandit sa dague en l'air. Le démon qui l'habitait s'agita frénétiquement à l'intérieur. Puis Hantise dit à l'attention de sa lame.

-Tu vas avoir de la companie Melchior !

Hantise passa une main derrière son manteau et en ressortit le bâton Céleste. D'un geste sec il le déploya, d'un autre mouvement, plus lent, il assembla les deux armes ensemble et créa par la suite :

-La lance des trois mondes !

Aprés avoir hurlé de tout son soufle sa sphére de protection , son néant se mit en route autour d'elle. Elle était plongé dans un sommeil qui ne faisait partit de la réalité ni d'unmonde analogue. Elle était un peu comme en pause. Doucement elle ouvrit les yeux dans sa sphére, un sourire naquis sur ses lévres. C'était le paradis pour elle tout autour d'elle , tout était baigné de lumière aucun combat , aucun astre ne la laissait de côté. Elle était plongé dans un doux rêve. Mais se rêve se rompit bien vite et laissa place à la terreure, la peur, la mort mais une lueure d'espoir vivait, battait dans son coeur. Elle voyait zéro la sauvé denouveau et son coeur battait a tout rompre.Son âme volait mais elle se réveilla doucement.
Elle ouvrit les yeux et essaya de se relevé sur ses bras.Ses gigantesque ailes pesait lours dans son dos. ses cheveux tombant devant son visage. Elle vent la fit frissonnée Elle tourna lentement le visage sur Hantise qui était aux prise contre le démon surdimentioné.
*Qu'est ce que ce sentiment qui m'ahabite depuis plsusieur jour. Pourquoi ai je peur pour zéro ? Ca s'appelle l'amour ma chérie . Non ej ne peut être amoureuse , je hais tout ce qui m'entoure. Pourtant tu es bel bien amoureuse de lui.*
Elle regarda vers zéro et réussi à se relevé . Elle eut un drôle de firsson. Elle n'avait qu'une seule envie c'était de disparaitre. De ne plsu le voir, de ne plus respiré le même air que lui.
*N"ai pas peur . Tu es une femme et cela est normal de tombée amoureuse. Pas pour moi, je suis un monstre , une créature des ténébres, incapable d'aimer. Ne dit pas ça mon coeur , si tu étais ce que tu dis tu ne serais pas amoureuse secrétement de lui ! Tais toi ! Tais toi."
"Tais toi !!!!!!"
Elle avait hurlée. Elle pleurait comme pleureraiot un enfant souffrant. Elle tourna son regard vers celui qui avait failli la tuée et elle eut directement ses pensés vers zéro. Elle le regarda et se tourna et commença à séloigné lentement. Elel tremblait de tout son corps. son regarda était rempli d'une crainte indescriptible. Elle déplaoa ses ailes et elle monta dans le ciel. Le démon qui en avait surtout aprés elle la vit et hurla de rage voyant sa proie s'en allé. Il ejecta Hantise et se mit çà courir aavec une rapidité et un agilité que l'on ne pouvait deviné sous sa musculature. Elle sentit qu'on la suivait elle fit volte face et elle en appela à la magie. Elle ouvrit ses bras vers le sol et mit sa tête en arrière vers le soleil. Elle créa avec une vitesse plusieurs énormes serpends de néant qui mesurait quelques 6 métres de hauteurs. Deux gardien qui se dressèrent devant elle. Elle remit son visage vers le gladiateur mais se syeux étaitd evenu d'un noir liquide. Elle commença à parlé dans une langue incompréhensible pour zéro, Hantise et le gladiateur. Au bout de dis minutes les serpents glissèrent vers le gladiateur. Leurs geules grande ouvertent et leurs crochets assérés en avant. Elle dit un mot et ils attaquèrent violement . Elle chuchota d'autres paroles incompréhensibles et les deux serpent entourèrent le gladiateur. Ils se rapprochaient jusqu'à ne plus laissé d'air au gladiateur et il s'épondrèrent sur lui car malgré qu'ils ne soient formé de néant ils était aussi dur que la pierre. La gladiateur hurla de douleur sous le poid mortel des deux serpents noir. Olympe avait le coeur qui battait a tout rompre. Elle ne voulait faire aucun mal à zéro. Elle battait l'air régulièrement. Elle plaqua ses mains l'une à l'autre ce qui fit disparaitre les deux énormes serpents laissant visible aux yeux de tous le corps inerte du gladiateur.

Le guerrier était au sol, Shana battait des ailles au dessus de l'arène. Une mine fatigué mais satisfaite de ses actes lui illuminait son visage éprouvé. Le chevalier s'inclina et fit une révérance à son amie.

-Je vous remercie de l'aide et vous pris de vous reposer pour le moment. Car il en faut plus pour en venir à bout des êtres des ombres. Vous en fîtes d'ailleurs jadis l'expérience.

La lance des trois mondes jetée sur l'épaule, le démon avancait à pas lent vers le corps de Gargaliad. Il s'arrêta brusquement qaund il sentit que la vie reprenait possession du corps du guerrier. Un bref clignotement rouge apparut derrière les meurtrières du casque de l'invocation.

-Mettez-vous à l'abris Olympe ! Il prépare un mauvais coup !

Le plus étrange était le vocabulaire du démon. C'était la voix moribonde de Hantise qui sortait de sa bouche, mais avec un niveau de language que seul Zéro employait. Comme si les deux êtres communiaient. Le chevalier fit trois pas prudents en direction du guerrier. Il remarqua qu'il pelait. Toute sa peau s'écaillait et les lambeaux s'envolait à la première brise. A y voir de plus près, même les sangles de cuirs et des morceaux de son casque se détachaient.

-Qu'est-ce donc ?

Le colosse était à présent troué d'une mulititudes d'écailles qui laissaient voir au travers de lui. Bientôt, tout sont corps s'envola en paillette. D'un pas vif, il recula de deux mètres et se mit en garde, la lance prête à découper. Il scrutait le horizon, il savait que ça ne lui servirait pas beaucoup et que le danger pouvait venir de partout à la fois.

-Il est encore vivant !

Hurla-t-il à l'attention d'Olympe.

-Il utilise un stratège lui permettant de disparaître à nos yeux ! Mais ne vous y fiez pas, il demeurre céan et guette la moindre ouverture pour attaquer !

Zéro était sérieux et concentré, l'invocation rendue invisible s'annoçait difficile à combattre. Il repensa à Olympe hors d'atteinte.

-Le mieux est que vous restiez dans les cieux. Il ne peut voler, vous y serez en sécurité !

N'entendant pas si l'ange lui avait répondu, il se concentra sur on adversaire. Il ferma les yeux et interrogea l'environnement des ses autres sens. Il n'entendait rien si ce n'est les sifflements du vent irréguliers. Il tentait de capter les secousses qu'auraient pu produire le monstre de ses pas lourds, mais Zéro ne décela rien. Ce fut son odorat qui l'avertit d'un danger imminent.

*Le souffre !*

L'odeur lui arrivait aux narines, mais il ne savait pas de quel côté fuir sous peine de se précipiter dans la gueule du loup. Il ouvrit les yeux pour voir d'où venait le vent et ainsi repérer l'origine du souffre. Hélas, rien n'était assez léger pour se faire emporter par une brise. Il se devait de la savoir et vite, l'odeur se faisait de plus en plus forte à mesure que l'invocation approchait. Il voulut bien voir les sens d'inclinaison des arbres, mais ils furent trop loin pour qu'il puisse les voir. Alors qu'il cherchait désespérément le moindre indice, une forme s'agitait derrière un rocher et lui faisait des signes. Il reconnut aussiôt l'âme à laquelle il n'avait pas prêté attention en arrivant. De ses bras fantômatiques, elle semblait lui indiquer une direction. Zéro n'avait plus le choix, c'était le croire ou mourir dans tous les cas. Il suivit les conseils du fantôme juste à temps pour éviter coup de glaive gigantesque. Le souffle de l'impact prolongea son saut de quelques mètres. Quand il se retourna pour voir si le Gargaliad avait réapparut durant son assaut, il ne vit qu'une énorme entaille qui saillait le sol. Il retourna son regard vers l'âme, elle lui indiquait la direction du monstre. Le chevalier feignit alors de chercher son adversaire du regard et se positionna sous le vent de l'invocation. Il était dos à lui, mais sentait à plein nez son approche. L'odeur se faisait de plus en plus forte, de plus en plus irritable. C'est quand elle commença à lui piquer les yeux et qu'il sentit une secousse dans son dos que Zéro se retourna. Brandissant sa lance à l'horizontale au-dessus de sa tête, il parra un puissant coup de lame. Il faillit mais ne lâcha pas sous la puissance du coup. D'un mouvement brusque, il pivota ses bras pour dévier l'arme de son adversaire et trancha le monstre avant de faire un bon arrière pour se mettre en sécurité. Un puissant cri déchira le bruit du vent. Une bouffée d'air lourde en souffre arriva au nez du démon qui se baissa inextrémis évitant ainsi à ce qu'il crut un revers de bouclier. Il se releva porta un deuxième coup au niveau des jambes qui fut précédé par un second cri d'agonie. Le chevalier envoya un crochet du gauche à l'aveuglette et para un coup de glaive horizontal. Le deux restèrent ainsi dans l'attente que l'autre cède.

Olympe aprés avoir fait aparaitre ses sepents sous l'effet de la colére regarda zéro ou plutôt hantise et elle écouta ce qau'il lui avait dit mais dans son dos , dans son bras gauche, son ventre , ta tête , il y avait quelque chose qui ne lui fesait atrocement mal. Ses yeux se révulsèrent et ses ailes se crispèrent. La magie la rongeait, ce que zéro ou hantise ne savait aps c'est que les deux serpent n'était sous son contrôle quand ils étaient apparue, elle les avait appelé, enfin plutot créent mais elle ne les controlé pas. Elle vait tellement peu d'énergie a cause de la magie. Tout son corps était sous l'effet de celle-ci; Elle tomba entre les arbres de la forêt car elle avait palnait jusqu'au dessus. Elle disparut a travers les feuillages drus de la forêt dense. Elle tomba comme une pîerre tombe quand on la lance dans un ravin. Elle se prenait toute les branches qui passait et elle tomba dans un someil profond. Elle atterie sur un lit de ronce mais elle n'avait aucune égratigure mais sur ses ailes il manquait pas de plume. Elle était dans un someil comatique.

Flash back

Elle était dans une petite clairière , un ange masculin juste à côté d'elle. Elle avait ses deux mains posée de chaque côté d'elle et sa main gauche à côté de celle de l'ange masculin. Il était brun lui aussi et il avait lui aussi des ailes magnifiquement noire mais sur les siennes on pouvait voir des reflets rouge sang et sur celle d"Olympe de magnifique reflet bleue se faisiat apercevoir. Il la regardait avec des yeux plein d'amour. Ils devaita voir tout les deux 16 ans et on pouvait deviné qu"Olympe ne vivait plus chez elle. Il la regardait , il l'admirait, il la désirait ardement mais elle , elle était lointaine, elle était ailleur, si proche mais si distante. Le jeune homme posa sa main sur celle d'Olympe et elle retirta sa main comme si il l'avait brûlé. Il était tatoué de symbole tous plus psychédélique les uns que les autres.
"Olympe, pourquoi es tu si distante de moi. Tu as tué l'autre garçon mais moi qui te ressemble tant pourquoi ne m'accorde tu pas ton coeur!"
Olympe tourna ses yeux limpide vers le jeune homme.
"Luc , je ne puis t'offrir moncoeur car il est démesurément noir et tu souffrirait par ma fautes, de plus tu es le seul qui à su me faire confiance alors que je suis , moi même incapable de faire confiance à quelqu'un."
"Je t'aime depuis la seconde où je t'ai vu !"
"Luc ne dit pas ça par pitié, laisse moi!"
Luc la regarda et lui prit la main et elle se laissa faire.
"N'ai pas peur de moi , je serait toujour là , je ne t'abandonnerais pas ! Pas comme ta famille. J'ai vécu la même chose que toi, ne l'oublie pas, je suis comme toi un ange déchut!"
Olympe avait des larmes mais sa fureur contre le monde ne fesai qu'augmenté de plus en plus.
"Luc..."
"Tais toi..."
Il la prit contre lui et ne la lâcha pas. Cette image se brouilla et laissa place à une image de mort . Un combat se déroulait. Des gardes royals se battait contre eux deux. Olympe était aux prise avec deux garde , quand à Luc , lui, il se battait contre une dizaines de soldats. Olympe tua les deux garde contre les quels elle se battait quand tout à coup elle entendit un cris. Elle fit volte face , tout était ralentit, tout devenait noir, tout était malheur. Elle voyait le seul en qui elle croyait vraiment se faire transperçé d'une dizaine de lance. Elle hurla de rage et elle se mit à courir vers lui. La pluie se mit à battre le sol et elle se battit comme un diable contre les soldats, elle les tua si violement, les réduisants en charpit. Puis une fois son travail fait , elle se jeta sur le corps encore vivant de Luc. Elle déploa ses ailes sur lui et elle le prit dans ses bras.Luc la regarda , son sang s'échappé de chaque trous qu'il avait. Il avait des larmes et il la regarda d'un regarda amoureux et lui caressa le visage avec uen douceur qu'elle n'avait jamais reçu de la part de ses géniteurs.
"Ne me laisse pas mon ange à moi!"
Il avait chuchoté et Olympe pleurait encore. Son corp entier dégoulinant de sang , d'eau et de l'armes. Elle ne voulait le perdre pour rien au monde.
"Je ne t'abandonnerais pas ! Je te le promet !"
Elle le garda contre elle mais elle s'avait qu'il ne survivrait pas. Sa vie s'échappé hors de son corps à chaque instant. Elle le serra un peu plus contre elle.
"Je t'aime..."
Il avait parlé encore en chuchotant, ce je t'aine fut ses derniers mots. Elle se sentit mourir contre elle et elle hurla dans les ténébres de la nuit. Elle resta longtemps tenant le corps sans vie de son ami et son premier amour. Elle perdait tout petit à petit et quand elle releva ses yeux plein de larmes sur les corps inertes des soldats, elle n'avait plsu qu'une seule envie tué. Déchiré le monde par la mort et se vangeait de la mort de Luc mais elle savait qu'aucuen autre personne ne la comprendrait comme Luc l'avait comprise. Elle déposa avec doucement le corps de Luc sur le sol et elle se leva. Ses magnifique ailes dans son dos , la fesait devenir ombre dans les ténébres. Elle se jura se jour qu'elle ne tomberais plsu jamais amoureuse de quelqu'un et qu'elle tuerait jusqu'à que la mort vienne la cherchée. Elle regarda une dernière fois le corps de Luc et elle prit un des bracelets de force de celui-ci , qu'elle mit pas la suite sur son poignet droit. Puis elle s'envola ....

Fin Flash back.

Elle ouvrit ses yeux doucement et elle se débatit pour sortir de son lit de ronce. Elle était bien ici. Elle sortit des ronce et se remit debout. Elle commença à marché même si elle savait qu'elle n'était pas en sécurité.
Elle marcha pendant un bon quart d'heure et elle attiva denouveau dans l'arène détruite et elle vit les deux combattant enfin le combattant qui restait et elle le regarda. Elle sentit la même chaleur qu'elel avait ressentit pour Luc.

Zéro mettait toutes ses forces dans la lutte qui l'opposait à la montagne de muscles. Son corps frémissait sous l'effort, il savait qu'il fallait qu'il parte, et si possible en achevant le plus rapidement son adversaire. Zéro ne pouvait pas se permettre n'importe quel mouvement, l'invocation avait un lourd bouclier en main qui profiterais de l'ouverture de la fuite du démon.
Son attention fut soudain portée par une masse volante. Le chevalier tourna la tête et devina Olympe qui chutait vers le massif végétal.

*Tampis ! Au moins elle sera en sécurité loin de Gargaliad.*

Le démon fixa l'invisible, approximativement là où devaient se situer les yeux du colosse. Zéro effectua une petite secousse de sa lance pour désorienter le colosse et profita de l'effet de surprise pour s'écarter en pivotant. Il termina son mouvement d'un coup de pied retourné derrière le casque du monstre. Un gong se fit entendre suivit du son d'une masse s'écrasant sur le sol. Le chevalier s'approcha du corps invisible, tapa du pied pour le localiser et monta dessus. Il éleva lentement ses bras au-dessus de sa tête. Il tenait la Lance des trois mondes à la verticale, le tranchant vers le bas. D'un geste porpre et sec, elle transperça le corps. Un râle agonisant et caverneux se fit entendre de sous le masque de fer. Le démon descendit du corps qui partit en flammes sans même le regarder. Il essuya sa lame et rangea la Dague ainsi que le bâton dans leur fourreaux respectifs; tout en continuant à s'éloigner du cadavre qui ne tarda pas à ressembler à un immense tas de cendres se disloquant au gré du vent.
Il retrouva son calme habituel, et l'étrange sensation qu'il avait d'être à la fois Hantise et lui même s'estompa.
Des pas s'approchaient de lui derrière les décombres, cherchant leur origine du regard, il ne tarda pas à reconnaître son amie.

-Sacré combattant n'est-ca pas ? Cela faisait longtemps que je ne m'était pas autant amusé.

Il vit la mine de l'ange, elle était toute griffée et de petits bouts de ronces étaient encore accrochés à ses cheveux.

-Permettez-moi de vous débarraser de ceci.

Zéro tendit une main vers la cheuveulure soyeuse de l'ange. Leur brillance, leur texture; ces cheveux de femme lui rapellaient Hannia. Hannia... Pensait-elle toujours à lui ? L'aimait-elle toujours ? Il n'y songea pas longtemps, sa précédente victoire en attestait. Sans le Bâton Céleste, rien n'en aurait été moins sûr. Il cligna des yeux et sortit la brindille de la masse brune.

-Voilà qui est fait.

Les deux continuèrent leur marche après que Zéro se soit excusé de son manque de maîtrise. Il ne restait plus rien à voir à l'évidence, mis à part les traces de la lutte qui venait d'avoir eu lieu. Le démon s'interrompit un instant. Un pierre lui rappelait le combat, quand une âme s'était cachée derrière pour lui venir en aide. Il s'avança, laissant Olympe à ses interrogations. N'y vit rien, que de la terre sèche, par où sortaient parfois quelques brins d'herbes. Scrutant plus profondement que dans la réalité, le démon lâcha d'une voix douce d'outres tombes.

-Sort.

Un petit nuage de fumée se forma derrière le rocher, laissant place à une âme errante. Un petit corps d'homme sans jambes flottait dans le vide. Le chevalier lui accorda un sourire.

-Je te remercie de ton aide. Aussi pour te récompenser, je t'offre le repos éternel.

Le démon sortit le bâton Céleste de sous son pan de manteau. Il était replié et à l'approche du fantôme, un sceaux qui se touvait sur le manche se mit à scintiller d'une lumière vive, bleue pâle. L'âme dégaeait une aura de soulagement. Avant que le sceaux ne la touche, elle se recula et fit signe au chevalier.
Les âmes des faibles rangs étaient incapables de parler, pour s'exprimer avec les résidents de la terre elle se devaient de mimer leur dialogues.
Le petit homme pointa du doigt dans une direction, puis s'y dirigea. Il s'arrêta en cours de route pour faire un signe encourageant à le rejoindre. Zéro échangea une oeuillade complice avec Olympe et tous deux suivirent le fantôme. L'âme les guida au premier impact que l'invocation avait créée de son énorme glaive. Au millieu des décombres gisait une grande entaille enfoncée dans un cratère. Le petit homme agitait frénétiquements ses bras et mimait un plongeon dans la faille. Les deux amis s'en aprochèrent et y jetèrent un coup d'oeil. Une salle semblait vide en dessous, l'idée qu'il puissent explorer une zone secrète ravis le démon au plus haut point. Il dit s'adressant à l'âme qui se contentait de l'émerveillement du chevalier.

-Allez ! Vous l'avez bien mérité.

Il approcha le bâton céleste. Au contact du sceaux avec le spectre, un lumière blanche jaillit du petit homme qui disparut avant qu'elle ne s'éteigne. Zéro rangea son bâton au côté et s'adressa à son amie d'un air enjoué.

-Et si on y allait ?

Olympe regarda zéro d'une manière assez bizarre. Elle se recula lorsqu'il lui montra la faille profonde encré dans la terre. Elle s'approcha doucement. Il devait y avoir une bonne vinghtaine de métre de frofondeur et la faille étaita ssez large pour qu'elle puisse y désendre en volant. Elle avait assisté au combat mortel et elle l'avait excusez dés qu'il avait vu qu'elle était en dangée. Elle le regarda et lui adressa un légé sourire. Elle revoyait Luc dans sa tête , ses derniers mots résonnée encore et toujour dans sa tête. Elle regarda zéro uen nouvelle fois. Sur son visage on pouvait voir toute les questions qu'elle se posait. Elle eut un mouvement d'aproche vers lui mais elle recula denouveau. Elle se retourna et commença à marché dans l'autre direction de la faille. Elle était si silencieuse, si proche mais si lointaine, si belle mais si malheureuse. Son monde s'écroulait autour d'elle. Elle n'était plus la tueuse qu'elle connaissais, elle n'était plsu l'ombre dont els gens avait epur dés qu'ils la voyaient, elle n'était plus rien. Elle n'était qu'un corps portant de grande ailes noires, avait un coeur...un coeur qui battait...qui battait de plus en plus vite....de plsu en plsu vites dés qu'elle le voyait...lui...lui qui l'avait sauvé...lui qu'elle se mettait à fuir....lui en qui elle avait confiance mais dont elle avait peur en même temps. Elle était perdue.
Elle marchais pratiquement en courant. Elle avait des sentiments qui se montrait beaucoup trop tôt et elle voulais les fuir mais cela ne marcherais certainement pas . Elle finit pas se laissé choir sur une vielle pierre. Ses ailes pendantes dans son dos la tête baissée , les mains plaquées sur son visage.

Aveuglé par le trésor historique qui habitait le sous-sol, Zéro ne remarqua même pas qu'Olympe était partie. Il n'avait qu'une chose en tête, pénétrer les cavaux. Il se rapprocha de la faille et plaqua ses mains l'une à côté de l'autre. Il avait acquit plus d'expérience ses derniers temps, il ne douta pas qu'il puisse écarter légèrement la saillure pour y faire passer une personne à la fois. Il se concentra sur son pouvoir du feu. La lave habitait son plexus, il ordonna à son corps de la libérer vers ses mains. Une petite boule de feu naquit devant ses paumes, elle se mit à grossir jusqu'a obtenir la taille d'un pomme, d'un geste sec, il l'envoya contre la brèche. Quand la boule eut touchée le sol, une détonnation de tous les diables perça le silence du vent, une tempète de feu calcinna tous les alentours sur deux cents mètres.

*Il semblerait que bien que je sache faire appel à mes pouvoirs, ceux-ci deumeurrent encore difficilement jaugeables.*

L'entaille était à présent une entrée de la taille d'un pont levis. Elle présentait un haut de pièce qui laissait apparent une salle à manger. Plusieurs tablées étaient montées et l'on sentait l'odeur de moisissures due au manque d'higiène. Le reste était trop obscur pour en apprécier les détails.

-Je vous prie de m'excuser pour ce nouveau désagrément Olym...

Il se retourna mais ne vit aucune trace de son amie.

-Mais où est-elle ?

Il porta ses recherches au-delà de la zone de charbon et vit deux ailes noires tournée vers lui. D'un coup de téléportation, il apparut derrière elle.

-Si c'est par ma faute que vous êtes dans cet état, je vous jure que mon inttention n'était que de vous divertir.

Olympe garda la tête baissé et ses mains revinrent sur ses genoux. Elle finit par se relevé et par se mettre en face de zéro. On pouvait voir qu'elle avait pleuré. Elle le regarda pusi baissa les yeux par peur qu'il en devine ce qu'elle pensait.

"Je ne voulais pas partir comme ça mais mes souvenirs revienne de plus en plus, ma magie me ronge car je suis incapable de la controlé et en plus je suis perdu par ce que je ressent."

Elle le regarad et attendit qu'il fasse un geste.

"De plus trop de changement se sont opéré en moi et je ne me reconnais plus. Et puis j'ai....j'ai une attirance pour vous monsieur. Je sais pertinament que tout amour est impossible autant de votre côté que du mien."

Elle se tut , elle ne voulais pas en dire plus.

"Pardonnez moi mais je ne sais plus où j'en suis ..."

Elle s'était remise à le vouvoyé par généitude par rapport à lui.

Le démon resta perplexe devant la réaction de l'ange. Il n'avait pas du tout envisagé une telle idée. Deplus, les dix ans passés dans les Limbes avait tué en lui le sentiment d'amour et mis à part celui qui lui restait pour Hannia, son coeur ne pouvait plus en contenir.

-Je me voit pris de court quand à votre demande Olympe.

Zéro tenta de saisir l'attention d'Olympe. Ces yeux étaient rouges, peut-être avait elle pleurée, elle souffrait intérieurement donc. Ca, le démon le comprennait, il avait passé tu temps à l'éprouver dans les Limbes.
Il porta son regard démoniaque au ciel et resta un instant ainsi à admirer les nuages empruntants toutes sortes formes dans le ciel. Il prit une grande inspiration et tourna sa tête vers l'ange de la mort.

-Olympe, bien que vous porte dans mon coeur; il n'y a malheureusement pas assez pas de place pour vous tout entière dans ma vie.

Il releva les yeux au ciel et continua.

-Hannia à marquée mon âme à l'encre indélébile dans la mienne. Elle occupe encore une place trop importante pour que je puisse envisager de la trahir.

Le chevalier prit les mains l'ange entre les siennes et lui laissant le spectacle des ses yeux rougeyants reprit.

-J'espère que vous saisissez et que vous ne m'en voudrez pas. Je compte sur votre compréhension.

Olympe fut dégea surprise qu'il la prenne par els main. Elle savait ce qu'il disait , elle se savait grâce a son pourvoir qu'elle avait utilisé pour contraindre Hantise à laissé sa place à Zéro. Elle le regarda mais elle ne souffrait plsu du tout car elle avait sa réponse. Et puis aprés tout elle n'avait vraiment aimé qu'une seule et unique fois.

"Vous savez ma vie n'a était qu'un désastre et ce que vous dites , je le savais déjà mais il fallait que je vous dise car sinon je me serait détruite, et pusi aprés tout tu avais le droit de savoir."

Elle le regarda et lui fit un jolie sourire. Elle étaitr quand même contente , ce n'était aps catastrophique et là elle voulut lui parlé de Luc.

"Tu sais tu as eu Hannia et bien moi, j'ai eu Luc, mon Luc, il était comme moi un ange déchu et il a su me comprendre et m'aimé mais malheureusement il est mort lors d'un combat contre la garde royale et mon amour pour lui avait disparue jusqu'à que je ressente quelque chose pour toi, mais lui était si étrange et si sûr de lui qu"il avait réussi à me sauvé d'un trop plein de mort. C'est d'ailleur depuis se jour là que je te tue sans réfléchir. Je sais que mon histoire ne t'interresse pas mais au moin sache que je suis comme toi ! J'ai connu la perte d'un être que j'aimais."

Elle le regarda et lui fit un beau sourire, lui montrant ainsi qu'elle allé mieux.

"Et si nous allions faire la chasse aux vielles ruine ! Quand dit tu ?"

Elle attendit un geste de sa part.

Le démon sourit à l'ange. Il ne voulais pas engager la conversation sur sa vie sentimentale, il avait peur que cela ravive de la douleur chez Olympe. De ce fait, il suivit aussitôt la demande de l'ange.

-Allons visiter ces lieux qui nous attendent.

Tout en se dirigeant vers la faille, il pensa à l'ange noir. Il ne s'était pas posé beaucoup de questions sur son passé, il ne connaissait que l'épisode fratricide et l'assassinat de ses parents, il était loin de songer à ce que l'amour de sa vie trépasse. Il savait à quel point cela pouvait être douloureux. Zéro la regarda, elle souriait et elle avait l'air de se sentir mieux. L'entrée béante se présenta bientôt devant eux.

-Vous vous êtes remise ?

-...

-Très bien ! Les ruines nous accueillent à bras ouverts.

Lança-t-il avant qu'elle n'ait eut le temps de répondre. Tous deux empruntèrent l'escalier. La pièce était noyée dans l'obscurité et le chevalier décida de faire du feu. Il claqua des doigts et une gerbe de feu traversa la pièce.

-Oups ! Un peu trop puissant semblerait-il.

"Heureusement", la langue de feu avait embrasée une table. A grands coups de pieds, le démon détacha deux planches enflammées. Il en tendit une à Olympe.

-Voici un flambeau.

Les deux torches illuminaient la pièce d'une couleur jaunnie. Elle n'avait rien de plus que se qu'avait put en apercevoir le démon d'en haut. Tout lui paraissait famillier hormis une porte dans le fond, les deux s'y dirigèrent. Zéro la poussa, elle s'ouvrit dans un crissement oripilant. Elle amenait sur un long couloir où des portes de bois s'étalaient sur les murs. Les deux amis en poussèrent trois pour comprendre qu'elles servaient autrefois de chambrées.

-Plutôt vétuste.

Commenta le démon. Ils traversèrent le couloir et débouchèrent dans une grande pièce. Des tapis de décorations étaient exposés sur les murs, ont y imaginait une fréquentation abondante allant à tout va. Des balcons et escaliers parcourraient le tour de la grande salle. Un chemin encadré de statues de ce qui semblait être de l'or s'enfoncait dans le sol en plein milieu de la pièce. Intrigués, les deux compagnons s'y dirigèrent. Un écriteau de marbre était fixé au-dessus de l'entrée qui menait au sous-sol, il laissait voir le message suivant.

Gloire à celui qui trouvera son chemin dans le jardin de pierre
Liberté à celui qui vaincra son gardien
L'aventurier aguérit se doit d'être vigilant

-Interréssant n'est ce pas ?

Olympe s'approcha à pas de chat de l'escaliers de pierre et elle le descendit avec grâce. Sa longue veste noir trainée sur les dalles qui contistiteées les marches. Elle était dérrière zéro mais contrairement au sourire qu'affiché son visage elle ne souriait pas du tout dans son fort intérieur. Elle arriva fnalement au fonb de l'escalier et elle regarda toute la salle et elle suivit ensuite zéro vers la porte . Elle avait saisie le flambeaux mais elle restait aussi silencieuse que possible. Luc hantait toujour son esprit et elle le revoyait encore dans ses bras. Elle fit un mouvement de tête de droite à gauche pour essayé d'oublié son image ! Mais ce fut en vain. Elle regarda ensuite Zéro comment avait elle pu osée croire un intant que lui et elle aurait été possible ? Elle regarda les inscriptions et une folle envie de conquérir ce labirynthe la prit de plain fouet. Elle regarda zéro et s'approcha doucement de lui. Elle passa à proximité de lui et ses ailes le touchérent doucement. Mais biensûr se n'était pas voulut. Elle toucha du bout des doights les inscriptions et elle eut un sourire.
"Moi je dis faut qu'on y aille."
Peut être était elle sucidaire ? Non elle avait juste une curieuse envie de voir le montre qui hantait cet endroit. Elle n'attendit pas que Zéro fasse le premier pas . Elle entra dans le labyrinthe et commença à marché.

[Grosse panne d'inspi !]

Olympe passa devant le démon, les plumes noires des ailes de l'oiseau des ténèbres lui éfleurèrent le bras. Même si un manteau s'opposait au contact des deux amis, le chevalier fut parcourrut d'un frisson.
Zéro suivait Olympe dans les couloirs étroits qu'elle carressait de ses ailes. Les lumières des torches éclairaient chichement le couloir ténébreux et les courbes de l'ange de la mort.
Les deux amis avançèrent durant un long moment avant de se confronter à la fin du tunnel.

-C'est bien étrange ! J'aurais juré de la véridicité de ce labyrinthe.

Les deux compagnons regardèrent autour d'eux. Le couloir se terminait par une anti-chambre de même dimension que le couloir qui la précédait. Il s'étaient arrêtés dans une portion de couloir qui semblait avoir étée ajoutée à l'ensemble. Cette même portion avait des saillures, comme si on avait découpé le couloir à la manière d'une brique de terre cuite à ses extrémités. Un grand rectangle noir et profond gisait sur le plafond de l'anti-chambre, chacun d'un côté, ils examinèrent le comble de leur torche de fortune. Le trou paraissait être sans fin, cependant, en fond et sur la longueur se réflétaient des couleurs métalliques de rouille.
Un bourdonnement, les reflets s'agitent, ils se rapprochent brusquements.

-Attention !

Du plat de la main, Zéro repoussa l'ange dans le fond de l'anti-chambre. Le coulissement du mur qui descendit entre les deux amis fut rapide, les pics oxidés qui le ponctuaient auraient put êtres fatals à celui qui aurait pu se trouver en-dessous. La cloison sépara les compagnons provoquant ainsi un puissant souffle.

-Est-ce que tout va bien Olmype ?

Il n'y eu pas de réponse à l'appel du chevalier, l'instant d'après l'anti-chambre se mit vibrer. Les paroies émettaient un grondement grave et sourd. Les mains plaquées contre le mur qui le séparait de son amie, le démon se sentit alors emporter, puis aller à la dérive. Il se rteourna et consta que le décor se mouvait, plus exactement que l'enceite dans laquelle il était tournait sur elle-même. Elle fit un quart de tour et déboucha sur un nouveau couloir tout aussi sombre.

*Je suppose qu'Olympe est dans le même cas. Le but étant de séparer les concourants dans le l'optique de rendre le défi le plus personnel et le plus corsé possible. Ainsi, pas de dialogue, pas moyen de comparer les avis et donc augmentation du stress et sélection ardue d'un champion... Très bon concept. L'architecque devait en plus être fin psychologue. Restons méfiant, l'endroit doit encore regorger de pièges inattendus.*

Il fit quelques pas dans l'inconnu, se retourna et accorda une pensée à l'ange noir.

*J'espère qu'elle va s'en sortir.*

Il reprit sa route près à explorer les ténèbres.

Sa séparation se son ami la géna quelques peu. Elle sentit alors la piéce où elle se trouvait commençé une roration sur elle même. Elle fit 3/4 de tour sur elle puis elle s'imobilisa sur une porte mettalique qui s'ouvrit dans un courant d'air chaud qui fouetta ainsi le visage du corbeau. Elle esquissa quelques pas puis elle s'arrêta et regarda dérrière elle. Elle se demandé si Zéro s'en sortirait. Ils seraient séparé jusqu'à la fin du voyage. Elle avait la vague impression que l'un des deux devaient mourir à cause de la selection du champion ultime qui combattra le démon hantant ce labyrinthe. Elle marcha et elle s'arrêta net le pied en suspend au dessus d'une dalle. Elle l'enjamba doucement et elle continua sa route.
Tous ses sens étaient en alerte . Elle avança et elle se retrouva sur un chemin où certaine dalle était fluoressente. Elles était de couleur bleues. Elle s'accroupit doucement et toucha l'une d'entre elle avec le bout des doigts. Celle-ci s'enflamma d'une lueur opaque qui brûlée pratiquement les yeux mais Olympe ne ferma pas pour autant les yeux. Elle se releva et elle entendit un bruit de frotement métalique , elle leva les yeux au dessus de sa tête et elle vit uen paque hérissée de piques en acier rougeatre descendre sur elle.En un coup d'aile , elle s'extirpa a temps de la plaque et elle se réceptionna en une roulade et une glissade. Elle vit alors que sur les dalles une autre couleur c'était mise. Un rouge sang parcourait le sol. Elle ne pouvait évités les dalles car il n'y avait que des dalle de couleur.

"Je l'ai échappé belle là."

Elle recrula violement quand elle vit une ombre passée. Elle allait joué à cache cache avec l'ombre. Elle n'avait aps peur tout au contraire , elle était exitée à l'idée d'être pousuivie et devoir se battre, d'évité des piéges et tout et tout. Elle se mit a rire doucement et elle continua sa route doucement.

De son côté, Zéro progressait dans le même couloir par lequel il était arrivé. Il marchait maintenant depuis trois quarts d'heure et ne percevait encore aucun indice de changement d'environnement. Il s'arrêta et réfléchit. Il était impossible que le labyrinthe soit aussi long que ce qu'il avait marché, si il tenait compte de l'agencement des décombres de l'arène en surface. La seule solution probable qui lui venait à l'esprit était que le chemin qu'il empruntait soit en fait le périphérique du labyrinthe. Aussi depuis le début s'acharnait-il à en faire le contour. Le couloir était droit et ne présentait aucune courbure, si cette hypothèse s'avérait exacte, alors le labyrinthe devait être extrèmement large. Revenir sur ses pas ne lui servirait sûrement à rien, à moins qu'il ait loupé un indice lui permettant de relever le niveau de sa progression. Il en douta fort, depuis son entrée dans les galeries, il était extrèmement concentré. En outre, il ne lui restait qu'une solution à adopter pour le moment, continuer sa route.
Il reprit la marche, de toute sa longeur, les paroies ne variaient pas d'une once, toujours les mêmes murs, toujours le même sol et toujours la même obscurité.

*-A quoi cela ryhme-t-il ?*

Songea Zéro, il y avait probablement une raison a ce que l'on guide ainsi un aventurier sans lui laisser la torture d'un choix d'orientation qui pourrait lui en couter la vie. Le temps passa, une heure, deux, puis trois. Malgré sa vitesse ralentie et le temps qui en découlait, le chevalier restait attentif au moindre signe particulier, la moindre écorchure, rayure qui aurait put prendre le moindre sens. Bientôt il faisait même attention à l'angle qui existait entre les paroies et le mur. Une obsession du moindre détail l'envahit, il ne savait plus où donner de la tête, chaque poussière, chaque particule était examinée, sa folie compulsive devenait dénudée de toute raison.

*Kantz ! Mais qu'est-ce que tu fou ? !*

La voix de Hantise le sortit de sa crise obsessionelle.

-Heu... je.. j'essaye de trouver....

*De trouver quoi ?*

-La solution...

*Moi je vais te dire ! La seule solution que je vois, c'est défoncer tous ces murs avec la tronche de celui qui les a construit et se barrer d'içi !*

Le chevalier reprit ses esprits en secouant sa tête.

-C'était donc ça !

*De quoi ? Explique moi je ne comprend pas.*

-Je parle du premier piège où j'ai failit tomber sans ton intervention.

*Mais quel piège, et de quoi tu parle *?

-L'architecte du labyrinthe est très fort ou alors il a été secondé par quelques psychologues. Le but de ce premier piège et de faire perdre la tête au concurrant en lui faisant croire qu'il doit repérer un indice indeccelable. Ainsi, l'aventurier se met à chercher n'importe quoi et s'écarte de ce qui lui semblait évident dès le début. Le fait que le couloir soit long laisse le temps au concurrant de se poser des questions et de s'inquiéter de sa réussite, il panique alors très vite et le piège se referme sur lui. Prisonnier de cette spirale, il pert alors toute envie et énergie et décède en suivant.

*Ta théorie est pas mal mais tu oublie les corps. Même si cela fait longtemps que cet édifice ait été créé, je suppose que nous aurions du retrouver des cadavres épars.*

-Tu oublie le gardien de ces lieux. Je suppose qu'il prend soin de son logis.

*Très bien, je suis fier de toi, tu as déjoué le piège et maintenant comment on fait pour sortir ?*

-La solution est en réalité des plus évidentes. Il faut continuer notre route jusqu'au bout.

*Si simple et pourtant si complexe.*

-Le stress fait faire bien des choses dans certaines situations...

Le chevlaier continua sa route. Il était persudé qu'il ne se trompait pas, il avait faillit tomber dans le piège et l'avait maintenant déjoué, il savait de quoi il en retournait et cela lui permettait de se préparer pour la prochaine épreuve.

Olympe était en quelques sorte un peu perdue car elle ne pouvait bougée de l'endoroit où elle se trouvait . Elle pensa alors à l'obscurité et donc aux chauves souris qu'elle avait vu batifolée. Il y avait donc une sortit mais comment l'atteindre sans touché le sol. Elle Déploya ses ailes et se rendit compet que ce qu'elle pensé était bien fondé, l'endroit était assez larges pour qu'elle puisse vollée. Elle battit des ailes une fois et cela suffit pour qu'elle s'envole. Elle ne savait pas par où aller et réaperçu l'ombre . Olympe regarda et elle se rendit compte que les mur était translucide. On pouvait voir a travers et elle vpoyait donc 'lombre de zéro. Elle regarda alors le chemin et vit qu'il continué tout droit. Elle était vraiment perdue. Elle frappa l'air de deux coup d'ailes puissant et elle trippla ainsi sa vitesse de vol. Elle fillait a travers le couloir comme un fléche . Elle sentita lors des chauves sourits qui désolèrent de leurs endroits. Elle réfléchit quelues secondes puis se décida de les suivre. Elle virvolta, esquiva et tourna de tous les côté. Elle comrpit alors que le chevein où elle se trouvait plutôt avait été spécialement conçu pour ceux qui vole, l'inventeur de ce jeu dangereux devait vraiment être habile et être aussi un fin psycologue . Olympe comprit qu'elle venait de déjouée le premier vrai piège de l'endroit austhère. Elle plongea alors dans une concentration inégalable. Elle s'arrêta et regarda où elle était.

Le couloir était terriblement long mais le démon ne tomba pas une seconde fois dans le piège, fort de son expérience passée. Au bout du couloir se présentaient trois nouvelles galeries. Deux se faisaient face et étaitent perpendiculaires à la troisième qui n'était autre que la poursuite du long couloir. Zéro ne pensa pas à un piège apparent. En effet, le précédent tunnel avait été tellement long qu'il aurait été impossible à tout être d'en connaître son orientation par rapport à l'entrée du labyrinthe. Deux entrées étaient identiques, celle de gauche et celle qui faisait face au démon, la troisième ne suivait pas l'encadrement rectangulaire, elle était de forme oblongue.

*Un stratagème mineur pour influencer les combattants à emprunter cette voie.*

L'esprit contradictoire poussa le démon à prendre la direction opposée à la porte ovale. Il fit quelques pas dans le nouveau tunnel avant d'entendre le même raclement qui l'avait séparé d'Olympe. De sa torche, il éclara derrière lui et vit une cloison qui venait de s'abattre, lui empéchant toute retraite.

*Je ne comptais pas reculer de toutes façons.*

Des sons de gouttes d'eau qui tombent lui parvinrent aux oreilles. D'un mouvement ample, il éclaira l'endroit. Il se trouvait à l'extrémité d'une large pièce rectangulaire qui ne semblait avoir d'issue que l'entrée par laquelle il était arrivé.

*Il semblerait que j'ai fait le mauvais choix.*

Ironisa-t-il à son attention. Au plafond étaient disposés à intervalles réguliers des centaines de petits trous sombres par où tombaient les gouttes d'eau. Ces dernières se répandaient sur le sol.

*Je doit trouver le secret de cette chambre dans un temps impartit donc...*

Pensa-t-il. L'eau n'était pas son élément favori, il songea donc un instant à l'évaporer en appelant son pouvoir du feu, il s'y résigna à la dernière seconde. Cela n'aurait eu d'autres effets que de générer de la condensation et d'éteindre sa torche. La saccade des gouttes d'eau était d'autant plus stressante que leur fréquence augmentait. Le démon ne tarda pas à avoir les pieds dans l'eau jusqu'aux chevilles.

*Il serait temps que je m'active à trouver la solution.*

| Bon de l'inspi sa y est |

Olympe s'était retrouvé au beau millieu d'une salle de taille moyenne mais dont les mur étaient tous hérissés de pics d'acciers accérés. Elle se plaça au milieu de la salle et elle les regarda tranquillement. Elle était de plsu en plsu troiblèe par la salle. Elle regarda de tous les côtés et elle se rendit compte qu'une lumière sortant du plafond était présente . Elle vit alor uen lumière blanche nacrée déscendre. Elle comprit alors qu'elel était arrivèe à la fin de son périple à elle. Elle battit des ailes àà plusiseures reprises puis elel monta vers celle-ci. Elle passa dans l'énorme troue de couleure nacrée et elle attérie dans une pièce spacieuse et entiérementbblanche nacrée.

"Suis je au paradis ? "

Une voix d'homme lui répondit.

"Absoluement pas ma chère messagère de la mort, mon cher petit corbeau que j'adore. Tu t'es sortit à merveille de tous els petit piège que je t'avait tendu! Bravo petite !"

Elle regarda autour d'elle et elle se demanda qui luia vait parlé.

Le niveau de l'eau augmentait dangereusement, Zéro était à présent immergé jusqu'aux épaules et était obligé de tenir sa torche en hauteur pour ne pas qu'elle s'éteigne. La panique ne l'avait pas encore gagné et la hargne combative qu'il dépenssait se ciblait essentiellement sur la réponse de l'énigme.

-Je dois trouver !

L'eau lui arrivait jusqu'au cou. Battant des jambes pour garder la tête hors de l'eau, il avait du mal à se concentrer. Il n'y avait vraiment aucune issue à la surface, il en était de même sous l'eau. Et pourtant Zéro avait prit le soin d'examiner l'endroit avant qu'il ne se remplisse complètement. Il fit un mouvement pour s'équilibrer à la surface et racla le haut de sa torche contre le plafond humide qui éteignit son flambeau.

-Damnation ! Je n'avais pas vu le plafond se rapprocher aussi vite !

Il ne savait pas si c'était son impuissance ou son ignorance qui le torturait mais il se démenait comme un animal sauvage. A taton, il recherchait le moindre faille, la moindre entaille. Il devait maintenant coller son visage contre le plafond pour pouvoir respirer. Il fit rapidement un tour de salle sans trouver un seul indice. En désespoir de cause, il nagea vers le centre la pièce, prit une grande inspiration grâce à son nez qui avait juste la place de passer entre l'eau et la pierre puis plongea au fond de la pièce. Il s'assit dans la position du lotus et entreprit un séance de méditation.

*Si j'ai de la chance, les desseins de cette épreuve sont de tester l'endurance à l'évolution sous-marine ainsi que l'adaptation au milieu aquatique.*

Fondant tous ses espoirs sur cette hypothèse, le chevalier entra dans une profonde concentration. Il en oublia le manque d'air qui aurait eu tôt fait de faire trépasser un humain paniqué.

Son corps était léger dans ce nouveau décor, tout était entouré de blanc et le vent frais lui carressait la peau. Il connaissait cet endroit, il y était venu à plusieurs reprises quand il sombrait dans son inconscient; c'était le seul portail qui lui permettait de rejoindre son aimée. Plus il progressait, plus le paysage devenait blanc et pur. Les jambes d'une silhouète se dessinèrent bientôt devant lui, il monta son regard pour admirer le visage d'Hannia. Tout était ralentit, à la place du visage il y avait une lumière blanche.

-Va t'en ! Tu caches Hannia !

Ordonna le démon. La lumière se mit à vibrer et se déplaça tout en tournoyant autour de Zéro. Le décor paradisiaque s'effaça lentement emportant la présence de l'ange.

-Hannia ....

Quand il rouvrit les yeux, Zéro était de nouveau dans le pièce. L'eau s'était vidée et avait laissée derrière elle des traces de son passage. Des gouttes ruisselaient sur les murs et quelques flaques parsemeaient le sol de pierre. Zéro se demanda alors comment se faisait-il qu'il pouvait voir ces détails alors que sa torche avait étée éteinte durant l'épreuve, qu'il avait apparement réussit. Sa réponse ne trada pas à arriver, la même lumière que dans son rêve virevoltait autour de lui.

-Toi ?

La lumière s'arrêta devant lui.

-Je suppose que j'ai réussit cette épreuve ?

En gage de réponse, la lumière scintilla de plusieurs éclats nacrés. Elle fit deux puis trois tours sur elle-même et s'enfut par un orifice de la taille d'une grosse marmitte. De l'orifice, propageait un rayon lumineux identique à celle de la lumière volante. Le démon prit une grande inspiration et d'un bon sortit de la pièce qui se referma derrière lui. Il attérit dans une grande pièce blanche, un grand nombre de collones de marbre blanc étaient présentes à intervalles fréquents. Le chevalier fit quelques pas et reconnut Olympe. IL dégaina le bâton Céleste et se mit en garde.

*C'est peut-être un piège.*

Comme pour répondre à sa question, un voix masculine lui répondit.

-Félicitation valeureux aventurier ! Tu a tout réussit !

La réplique fit réagir Olympe qui se retourna vers le démon, elle lui accorda un sourire et celui-ci reconnut immédiatment son amie. Son sourire ne pouvait pas le tromper. Il lui accorda un signe de tête et s'approcha d'elle.

-Ravie de vous voir saine et sauve Olympe. Il semblerait que nous ayons terminé.

Se dit-il rassurant et n'ignorant pas qu'un gros doute plannait sur la véracité des affirmations de la voix.

-Très bien. Avons-nous accès à un trésor quelconque ?

-Ha ha ha ! Et il sera plus précieux que tu n'ose le croire.

La voix de l'homme faiblit jusqu'à ne plus émettre de son. Le chevalier se tourna vers son amie.

-Nous avons trouvé le maître des lieux, reste à trouver son trésor.

Affirma-t-il avec un grand sourire. La pièce entière se mit à briller d'un lumière blanche aveuglante. Les deux compagnons furent obligés de fermer les yeux tant la lumière était agressive. Zéro lança à l'attention de l'ange noir.

-A deux, il sera sûrement plus aisé de terminer cette épreuve. Restons cependant sur nos gardes, si le maître du labyrinthe nous à réunit, ce n'est pas forcément pour nous avantager.

Les yeux fermés, les deux amis étaient aveugles dans une univers illuminé.

Olympe se retrouna quand elle entendit la voix de la personne qu'elle avait laissé dérrière elle. Elle le regarda et lui fit une magnifique sourire. Elle l'écouta parlé tranquillement puis elle se raprocha de lui tout comme celui ci. Puis la lumière nacrée devint flamboyante et elle ne vit absoluement rien doucement , une chaleur s'insinuait en elle mais elel ne comprenait pas. La voix reprit.

"Mon Petit Corbeau, à toi de répondre à ma première question !"

Olympe ouvrit légèrement les yeux et elle vit devant elle se découpait une personne de belle taille , et d'un poid surement plus que corecte mais ... elle se souvint alors de Luc qui l'appelait comme cet homme l'appelais. Mon petit Corbeau. Ces mots résonaient encore et encore dans sa tête comme la cloche que l'on fait tangué de droite à gauche pour qu'elel résonne. Elle ouvrit les yeux tout grand et elle regarda l'homme. Luc ...Luc se tenait devant elle. Mais il n'avait plus d'ailes noires mais elles étaient blanches. Olympe recula violement dés qu'elle le vit , lui, il se contenta de lui sourire.

"Ma puce n'ai point peur ! Répond moi juste! Pour qui mon coeur bat il ?"

C'était une question piège , elle le savait c'est alors qu'uen voix féminine naquit et la personne à qui elle appartenait apparue et s'avança vers zéro.

"Alors ?"

Olympe avait les larmes aux yeux.

"Pour mo.... pour personne car tu es mort !"

"Bonne réponse !"

Il rit doucement.

"Je t'aime , ma seconde question est ... Est ce lui ou moi qui te parle ?"

Olympe fut prise de panique , elle regarda zéro ou plutôt Luc , elle ne savait pas , elle était plus que perdue. Elle qui était si solide s'éffondra en larmes c'était de la torture tout simplement pour que les combatants s'éfondre avant d'atteindre le but ultime qui était le trésor.

"J'attend ...."

Olympe sentit des secousses, il tapait du pied par impatiente.

"Personne car tu es le produit de mon imagination !"

"Fausse réponse."

Une cage s'abattit sur le petit corbeau qu'était Olympe. Elle se mit à hurlée.

Zéro tendit son bras droit pour tenter de toucher Olympe mais il gesticulait dans le vide.

-Olympe ? Etes-vous toujours là ?

Sa question resta un moment sans réponse. Soudain, la lumière se fit moins intense et petit à petit, le démon put ouvrir les yeux. Une personne se tenait devant lui, Hannia et
Olympe avait disparue.

-Ton amie est partie. A présent, unissons-nous !

-Hann...

Il y avait quelque chose d'étrange dans l'attitude d'Hannia, ses gestes et sa façon de s'exprimer étaient différents d'antan. Quand la lumière fut totalement dissipée, Zéro put capter le regard de son aimée. Il était toujours aussi envouté mais les yeux de la belle étaient moins passionnés qu'avant.

-Hannia m'aimes-tu toujours ?

L'ange s'approchait à pas lents et tendit deux bras balants vers le cou du démon.

-Biensûr mon amour.

*Les yeux Kantz !*

Alerté par l'appel du démon, le chevalier porta son attention sur les yeux de la jeune femme, il étaient faux, à vrai dire, ils empestaient l'imposture. Les mains de la fausse Hannia allaient presque toucher le torse du chevalier quand; elle fut stoppée par le bâton Céleste qui s'interposa entre les deux personnes. Le bâton s'anima d'électricité statique bleutée et agressive.

-Voici le gage d'amour d'Hannia. Il te repousse imposteur, montre ta véritable identité et n'use pas de la ruse comme une arme de lâche.

L'ange sourit, la vision de la fausse Hannia se troubla et se changea en la silouhète d'Olympe.

-Olympe ?

La surprise du démon lui fit défaut d'un coup de peid en plein visage de la part de l'ange noir.

*Mais que... ?*

*Elle est comme nous Kantz ! On ne peut pas lui faire confiance. Tue la avant que ce ne soit elle qui le fasse.*

Il eu à peine le temps de se relever qu'il reçut un autre coup ascendant sous le menton.

-Tu ne comprend pas que je t'aime Zéro !

Hurla l'ange.

-Mais que vous arrive-t-il ? Ce n'est vraiement pas le moment de parler de ça, et je croyais que tout était déjà réglé.

-Tu ne comprend ni les femmes ni les sentiments Zéro. Quand on aime, on ne peut pas le refouler !

La répilque fut accompagnée d'un puissant coup de pied de face qui projeta le démon contre une colonne de marbre. Plus inquiété par ce que disais Olympe que par son anormale force, le démon se remit en postion défensive tout en reprennant son souffle.

-Vous m'en voyez désolé, seulement je ne souhaitais pas être grossier avec vous. Les années dans les limbes ont tuées toutes émotions joyeuses en moi.

La silhouète de l'ange qui se trouvait en face de lui disparut.

*Quoi ?!*

*A GAUCHE !*

Obeïssant aveuglément, Zéro para un coup de pied aérien avec son bâton. Une gerbe d'étincelle bleue se propagea du bâton au corps de l'ange noir. Dans le mouvement de parade et durant un bref instant le chevalier vit une étincelle illuminer une partie du visage de son combatant. Tout deux se remirent en garde chacun se préparant à réattaquer.

-Tu n'est pas Olympe !

Cracha le démon. Son interlocuteur fit un geste circulaire de sa main et annula l'illusion.
Apparut alors, un être à la peau aussi blanche que l'était la pièce. Il était flanqué de longs bras arrondis de la même manière que ses jambes. Il portait un casque noir qui suivait les lignes rondes de son crâne. Deux trous en amande étaient perçés pour laisser apparaître des yeux bleu ciel. Il était vêtu uniquement d'une ceinture noire orné d'un bijoux de la même couleur que ces yeux. L'être portait aussi des brassards aux poings et aux chevilles dans le même style que sa ceinture. Mis à part la lueur qui animait ses yeux, rien n'aurait put attester de mauvaises inttentions.

-Toujours aussi lâche ! Un subterfuge supplémentaire ne t'aura pas suffit, après avoir prit l'identité de mon aimée, tu t'en prend à mes amis. Tu es méprisable ! En garde !